La CIEHC est un lieu de rencontre de l’industrie congolaise des hydrocarbures avec le gouvernement pour partager et discuter sur l’avenir de l’industrie pétrolière et gazière nationale. Pour cette 5ème édition, le thème choisi est : « La transition énergétique au Congo : opportunités et défis. »
Plus de 1000 participants participant à cette édition, doivent faire oeuvre utile pour une grande efficacité du secteur pétrolier et gazier. A ces assises de Brazzaville participent plusieurs pays africains, notamment le Congo, le Sénégal, la Guinée Equatoriale, le République Démocratique du Congo, la Centrafrique et l’Algérie.
Animée culturellement par les « Tambours de Brazza », la cérémonie d’ouverture de la CIEHC 5 a été précédée par 4 sessions avec des thématiques diverses notamment les opportunités et les ressources en Hydrocarbures, le développement du gaz naturel, le cadre juridique et réglementaire du gaz en Afrique et les opportunités en Deep offshore.
La cérémonie d’ouverture proprement dite a été marquée entre autres par l’intervention de Mr Ahmed Mahad, directeur général d’Ametrade et de Mr NJ Ayuk, président de la Chambre Africaine des Energies. Le message du sponsor officiel de l’événement, à savoir la Société Nationale des pétroles du Congo (SNPC) a été porté par son directeur général, Maixent Raoul Ominga, qui n’a pas manqué d’énumérer quelques actions menées par sa société dans le cadre de la transition énergétique. Au nombre de ces actions, il a cité le plan directeur pour l’aménagement des gaz naturels et la mise en œuvre des formations sur les métiers du Gaz.
Comment pouvons-nous réinventer notre secteur pétrolier et gazier à l’ère de la transition énergétique ? Ainsi s’est interrogé Bruno Jean Richard Itoua, ministre des hydrocarbures du Congo, au cours de son intervention. Pour lui, malgré la crise énergétique mondiale, les perspectives de l’industrie pétrolière et gazière restent positives. Il a précisé, en outre que la République du Congo regorge un bassin côtier riche en pétrole et en Gaz qui peut être considéré comme une destination d’affaires attrayantes pour les entreprises désireuses d’investir dans les unités de production on-shore et off-shore, en plein essor au Congo. Le ministre congolais a émis le vœu de voir consolider au sein de l’Afrique, à l’issue de ces assises, un secteur pétrolier résilient et performant.
Ouvrant les travaux de la CIEHC 5, au nom du président de la République du Congo, le premier ministre, Anatole Collinet Makosso, a souligné que ce forum s’affirme résolument comme un cadre de réflexion, d’échange d’expérience et d’opinion sur les problématiques ayant trait à l’énergie pétrolière et gazière.
En rapport avec le phénomène du réchauffement climatique qui préoccupe l’humanité toute entière, le Chef du gouvernement congolais a appelé les acteurs pétroliers et gaziers réunis à Brazzaville à échanger sur les stratégies à mettre en place, afin de promouvoir les investissements pétroliers et surtout gaziers. « Ces stratégies doivent permettre de mettre en œuvre de façon optimale les ressources d’hydrocarbures dont regorgent les pays africains avec pour principal objectif la diversification de leurs économies. » A insisté Anatole Collinet Makosso.
A noter que, le CIEHC qui se tient à Brazzaville tous les 4 ans fait partie désormais des grands rendez-vous sur le secteur pétrolier gazier en Afrique . Au cours de cette 5ème édition, il est prévu au total 11 sessions et un panel ministériel ainsi qu’une cinquantaine d’exposants.
Plus de 1000 participants participant à cette édition, doivent faire oeuvre utile pour une grande efficacité du secteur pétrolier et gazier. A ces assises de Brazzaville participent plusieurs pays africains, notamment le Congo, le Sénégal, la Guinée Equatoriale, le République Démocratique du Congo, la Centrafrique et l’Algérie.
Animée culturellement par les « Tambours de Brazza », la cérémonie d’ouverture de la CIEHC 5 a été précédée par 4 sessions avec des thématiques diverses notamment les opportunités et les ressources en Hydrocarbures, le développement du gaz naturel, le cadre juridique et réglementaire du gaz en Afrique et les opportunités en Deep offshore.
La cérémonie d’ouverture proprement dite a été marquée entre autres par l’intervention de Mr Ahmed Mahad, directeur général d’Ametrade et de Mr NJ Ayuk, président de la Chambre Africaine des Energies. Le message du sponsor officiel de l’événement, à savoir la Société Nationale des pétroles du Congo (SNPC) a été porté par son directeur général, Maixent Raoul Ominga, qui n’a pas manqué d’énumérer quelques actions menées par sa société dans le cadre de la transition énergétique. Au nombre de ces actions, il a cité le plan directeur pour l’aménagement des gaz naturels et la mise en œuvre des formations sur les métiers du Gaz.
Comment pouvons-nous réinventer notre secteur pétrolier et gazier à l’ère de la transition énergétique ? Ainsi s’est interrogé Bruno Jean Richard Itoua, ministre des hydrocarbures du Congo, au cours de son intervention. Pour lui, malgré la crise énergétique mondiale, les perspectives de l’industrie pétrolière et gazière restent positives. Il a précisé, en outre que la République du Congo regorge un bassin côtier riche en pétrole et en Gaz qui peut être considéré comme une destination d’affaires attrayantes pour les entreprises désireuses d’investir dans les unités de production on-shore et off-shore, en plein essor au Congo. Le ministre congolais a émis le vœu de voir consolider au sein de l’Afrique, à l’issue de ces assises, un secteur pétrolier résilient et performant.
Ouvrant les travaux de la CIEHC 5, au nom du président de la République du Congo, le premier ministre, Anatole Collinet Makosso, a souligné que ce forum s’affirme résolument comme un cadre de réflexion, d’échange d’expérience et d’opinion sur les problématiques ayant trait à l’énergie pétrolière et gazière.
En rapport avec le phénomène du réchauffement climatique qui préoccupe l’humanité toute entière, le Chef du gouvernement congolais a appelé les acteurs pétroliers et gaziers réunis à Brazzaville à échanger sur les stratégies à mettre en place, afin de promouvoir les investissements pétroliers et surtout gaziers. « Ces stratégies doivent permettre de mettre en œuvre de façon optimale les ressources d’hydrocarbures dont regorgent les pays africains avec pour principal objectif la diversification de leurs économies. » A insisté Anatole Collinet Makosso.
A noter que, le CIEHC qui se tient à Brazzaville tous les 4 ans fait partie désormais des grands rendez-vous sur le secteur pétrolier gazier en Afrique . Au cours de cette 5ème édition, il est prévu au total 11 sessions et un panel ministériel ainsi qu’une cinquantaine d’exposants.