Le parcours réalisé par la Banque Congolaise de l’Habitat (BCH), en fin août 2025, est plus ou moins remarquable. Selon le ministre des hydrocarbures, Bruno Jean-Richard Itoua qui s’exprimait au nom de son collègue des finances, « en fin Août 2025, la BCH représentait 5,35% des dépôts bancaires dans le pays, 4,32% des crédits à l’économie et 4,70% des créances de l’Etat ». C’est la preuve que le secteur bancaire congolais affiche des signaux au vert.
Fruit du partenariat stratégique entre l’état congolais et l’état tunisien, la BCH a été créée en 2007 dans le but de doter le Congo d’une institution bancaire nationale capable de financer l’habitat et l’immobilier, impulser le secteur de la construction, du logement en République du Congo et faciliter ainsi l’accès des Congolais à un logement décent et à faibles coûts. L’une des missions de la banque a été d’accompagner chaque congolais d’avoir un toit.
Dans son mot de circonstance, prononcée à la cérémonie, le directeur général de la BCH M. Oscar Ephraïm Ngole s’est appesanti sur l’évolution de cette banque de sa création en 2007 jusqu’en 2020. Une évolution marquée par des difficultés dont « l’absence de ressources adaptées et d’un écosystème principalement outillé permettant de développer des projets immobiliers et d’habitats de grandes envergures ». Ainsi, la banque n’a pas pleinement joué son rôle.
Face à ses difficultés, a poursuivi Oscar Ephraïm Ngole, le gouvernement agissant sur les hautes instructions du président de la République a, en octobre 2020, élaboré dans l’urgence, un plan de restructuration de la BCH qui s’articulait autour de quatre axes dont l’augmentation du capital social de la banque à hauteur de 30 milliards de FCFA et l’affectation à la BCH des ressources du fonds national de l’habitat.
Ce nouveau plan stratégique a donné des résultats escomptés. La banque est, aujourd’hui, présente dans 4 grandes villes du Congo, à savoir Brazzaville- Pointe-Noire, Dolisie et Ouesso, a déclaré le ministre des hydrocarbures. Pour Bruno Jean-Richard Itoua, ce maillage territorial permet à la BCH « d’être proche des populations, d’offrir des services adaptés aux réalités sociales et de participer activement à l’inclusion financière ». Le ministre Bruno a également affirmé que « grâce à ces agences, de nombreux congolais peuvent accéder à des services bancaires modernes, solliciter un crédit ou épargner dans les conditions dignes et sécurisées ».
C’est dire que la BCH occupe une place réelle au sein du système financier et, surtout, dispose d’un potentiel important qu’il convient de consolider, selon le ministre des hydrocarbures.
Il a salué l’impulsion du Chef de l’Etat congolais qui a permis à la BCH de retrouver sa crédibilité et son équilibre. « Le gouvernement sous votre impulsion et l’autorisation du 1er ministre, chef du gouvernement, a mobilisé des ressources nécessaires pour renforcer son capital, restaurer sa crédibilité et permet à la banque de retrouver l’équilibre indispensable à l’accomplissement de sa mission… » a-t-il expliqué.
Fruit du partenariat stratégique entre l’état congolais et l’état tunisien, la BCH a été créée en 2007 dans le but de doter le Congo d’une institution bancaire nationale capable de financer l’habitat et l’immobilier, impulser le secteur de la construction, du logement en République du Congo et faciliter ainsi l’accès des Congolais à un logement décent et à faibles coûts. L’une des missions de la banque a été d’accompagner chaque congolais d’avoir un toit.
Dans son mot de circonstance, prononcée à la cérémonie, le directeur général de la BCH M. Oscar Ephraïm Ngole s’est appesanti sur l’évolution de cette banque de sa création en 2007 jusqu’en 2020. Une évolution marquée par des difficultés dont « l’absence de ressources adaptées et d’un écosystème principalement outillé permettant de développer des projets immobiliers et d’habitats de grandes envergures ». Ainsi, la banque n’a pas pleinement joué son rôle.
Face à ses difficultés, a poursuivi Oscar Ephraïm Ngole, le gouvernement agissant sur les hautes instructions du président de la République a, en octobre 2020, élaboré dans l’urgence, un plan de restructuration de la BCH qui s’articulait autour de quatre axes dont l’augmentation du capital social de la banque à hauteur de 30 milliards de FCFA et l’affectation à la BCH des ressources du fonds national de l’habitat.
Ce nouveau plan stratégique a donné des résultats escomptés. La banque est, aujourd’hui, présente dans 4 grandes villes du Congo, à savoir Brazzaville- Pointe-Noire, Dolisie et Ouesso, a déclaré le ministre des hydrocarbures. Pour Bruno Jean-Richard Itoua, ce maillage territorial permet à la BCH « d’être proche des populations, d’offrir des services adaptés aux réalités sociales et de participer activement à l’inclusion financière ». Le ministre Bruno a également affirmé que « grâce à ces agences, de nombreux congolais peuvent accéder à des services bancaires modernes, solliciter un crédit ou épargner dans les conditions dignes et sécurisées ».
C’est dire que la BCH occupe une place réelle au sein du système financier et, surtout, dispose d’un potentiel important qu’il convient de consolider, selon le ministre des hydrocarbures.
Il a salué l’impulsion du Chef de l’Etat congolais qui a permis à la BCH de retrouver sa crédibilité et son équilibre. « Le gouvernement sous votre impulsion et l’autorisation du 1er ministre, chef du gouvernement, a mobilisé des ressources nécessaires pour renforcer son capital, restaurer sa crédibilité et permet à la banque de retrouver l’équilibre indispensable à l’accomplissement de sa mission… » a-t-il expliqué.
Menu
Congo : bientôt un nouveau siège social de la Banque congolaise de l’habitat à Brazzaville








