La fondation IOG pour le logement, 30 000 logements, un financement ficelé via Bank of Africa, CAC international Bank,...en attendant les donations du secteur privé. Ce secteur privé, pas tous mais celui qui ait bénéficié des largesses et de la faiblesse de l'Etat, celui des prête-noms, celui des contrats qui sont négociés et signés avant l'appel d'offre, celui de quelques familles dont Djibouti observe et reste stupéfait, ce secteur dont du 1er au plus bas de l'échelon des fonctionnaire sont présents (ne ditons pas aux novices d'aller au plus vite sous contrainte d'être qualifié de NACAS,....sous peine d'être écartés). Celui qui rend compte au palais mais surement pas celui de la justice. La justice est le palais Haramous.
La république de Djibouti, ni la société immobilière étatique ne peuvent s'ordonner aux besoins des Djiboutiens, un besoin en particulier celui du logement. Non, ni la république, ni ses institutions ne peuvent satisfaire ce besoin, IOG si.
Il en a fais une institution, sa fondation, la sienne et rien d'autre. Il doit loger la population sous un nom pas sous celui du pacte social de la redistribution des revenus de la République.
Un million deux cent milles dit-il, le logement, la reconnaissance devra accompagner nos plus démunis envers sa personne.
La redistribution s'organise à sa façon, celle façonnée, organisée autour de sa personne.Il se doit de laisser des traces, nôtre bâtisseur, l'omnipotent qui peut faire en un jour un simple fonctionnaire un ministre et surtout super riche en quelques années (aller savoir par quel miracle à moins que vous soyez taxés de JALOUX, l'argumentaire des spoliateurs des deniers).
Et si ces bénéficiaires des logements IOG osaient prétendre à une quelconque information sur les entrées financières de la république, le port, l'aéroport, ...ou juste la liste des sociétés bénéficiaires des différents contrats.
Exercice voué à l'échec, même ces parlementaires censés représenter une population dont ils se prétendent "représenter" n'oseraient s'aventurer à ces genres de questionnements. Ils n'ont pas été élus pour cet exercice mais surement sur celui de parapher certaines chose, pas toutes mais juste certaines. Même les députés de ladite opposition ne peut prétendre à ce droit, hormis un.
Le sultanat Djibouti est bien en marche, il ne manque juste le IBN à la fameuse fondation.
La supercherie Speed n'est autre qu'un amusement, un leurre sur les réelles intentions de Sieur. Il est le sultan et un sultanat est familiale par ligné directe et pas par alliance très speed.
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