Une histoire d’amour qui aurait pu tourner au conte de fées a connu un dénouement tragique à N’Djamena. Monsieur X, un jeune homme amoureux de sa voisine depuis deux ans, a vu ses rêves de mariage s’envoler en fumée suite aux exigences exorbitantes de la famille de sa bien-aimée.
Les faits se sont déroulés ce mardi 24 septembre dans le quartier N’Djari. Après avoir obtenu l’accord de principe de la famille de Mademoiselle F, Monsieur X s’est vu imposer des conditions financières jugées excessives par son entourage : deux iPhone 15 Pro Max et une somme de 500 000 FCFA.
Malgré tous ses efforts, le jeune homme n’a pas été en mesure de réunir une telle somme. Face à cet échec cuisant, il a préféré mettre fin à cette relation et s’exiler en Libye.
Cette histoire, qui a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, soulève de nombreuses questions sur les pratiques matrimoniales dans notre société. Les dotations, bien que traditionnelles dans certaines cultures, font de plus en plus l’objet de débats. Certains y voient une forme de respect envers la famille de la mariée, tandis que d’autres y dénoncent une marchandisation de la femme.
Ce cas de figure n’est malheureusement pas isolé. De nombreux jeunes Tchadiens renoncent à se marier en raison des coûts exorbitants associés à ces cérémonies. Cette situation a des conséquences sociales importantes, notamment en matière de délinquance et d’émigration clandestine.
Les autorités et les acteurs de la société civile sont appelés à réfléchir sur des solutions pour rendre le mariage plus accessible à tous. Il pourrait s’agir de campagnes de sensibilisation sur les dangers des dotations excessives, de l’instauration de plafonds pour les dotations, ou encore de la promotion de mariages civils.
Les faits se sont déroulés ce mardi 24 septembre dans le quartier N’Djari. Après avoir obtenu l’accord de principe de la famille de Mademoiselle F, Monsieur X s’est vu imposer des conditions financières jugées excessives par son entourage : deux iPhone 15 Pro Max et une somme de 500 000 FCFA.
Malgré tous ses efforts, le jeune homme n’a pas été en mesure de réunir une telle somme. Face à cet échec cuisant, il a préféré mettre fin à cette relation et s’exiler en Libye.
Cette histoire, qui a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, soulève de nombreuses questions sur les pratiques matrimoniales dans notre société. Les dotations, bien que traditionnelles dans certaines cultures, font de plus en plus l’objet de débats. Certains y voient une forme de respect envers la famille de la mariée, tandis que d’autres y dénoncent une marchandisation de la femme.
Ce cas de figure n’est malheureusement pas isolé. De nombreux jeunes Tchadiens renoncent à se marier en raison des coûts exorbitants associés à ces cérémonies. Cette situation a des conséquences sociales importantes, notamment en matière de délinquance et d’émigration clandestine.
Les autorités et les acteurs de la société civile sont appelés à réfléchir sur des solutions pour rendre le mariage plus accessible à tous. Il pourrait s’agir de campagnes de sensibilisation sur les dangers des dotations excessives, de l’instauration de plafonds pour les dotations, ou encore de la promotion de mariages civils.