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France: Deux tentatives d'assassinat sur ma personne ordonnées le 2013/02/12 par M. Manuel Valls.


Alwihda Info | Par - 14 Juin 2013



Grigny, le 2013/03/03.
 
M. le prétendu Député de ma circonscription électorale Malek Boutih,
 
Je n’ai apparemment reçu aucune réponse à l’envoi en fichier Word joint ainsi qu’en fin de ce message par deux courriers ainsi que deux courriels à vous destinés, envoyés le 2013/02/12 à 13 h 51 très exactement, et j’en suis désolé. J’en suis d’autant plus désolé qu’il s’est produit le soir même deux tentatives d’assassinat sur ma personne, deux tentatives d’enlèvement discret à fin d’élimination physique discrète, et je sais que l’ordre de m’assassiner a été donné le 2013/02/12 en fin d’après-midi-début de soirée par M. Manuel Valls, l’actuel prétendu Ministre Français de l’Intérieur. Dois-je considérer que l’ordre de m’enlever discrètement, de m’assassiner discrètement et de me faire disparaître mon corps toujours discrètement donné par M. Manuel Valls en fin d’après-midi-début de soirée était la réponse à mon envoi en quatre exemplaires, deux courriers et deux courriels, du 2013/02/12 de début d’après-midi à vous destinés, M. Malek Boutih ? J’ai bien peur que oui puisque, votre silence assourdissant envers moi depuis cette date comme réponse à mon information de millions et de millions d’euros de fonds publics détournés sur le chantier de La Grande Borne de Grigny, votre silence assourdissant est plus qu’éloquent, et est sans aucune contestation possible l’aveu de votre complicité dans ces deux tentatives d’assassinat de ma personne.
 
Je suis l’actuel Prince, chef de la Maison Vannieuwenhuyze, mon frère aîné, Jean-Pierre, ayant été déclaré légalement irresponsable car autiste non pris en charge suffisamment tôt et comme il l’aurait fallu, il n’est plus, en fait, il ne l’a jamais été que de naissance mais jamais dans la réalité de Prince, chef de Maison à cause de son autisme, il n’est plus, disais-je, Monseigneur le Prince Jean-Pierre de Maisonneuve, chef de la Maison Vannieuwenhuyze, et, comme il n’a pas d’enfant, c’est moi, son frère cadet, qui lui ai succédé et qui suis devenu Monseigneur le Prince Paul de Maisonneuve, chef de la Maison Vannieuwenhuyze ou van Nieuwen Huyze, de Maisonneuve en français actuel. En tant que chef de cette Maison très antique, la plus antique de toutes les Maisons actuelles répertoriées de la planète, très vaste et aux très nombreuses ramifications, j’ai été informé que M. Manuel Valls est l’émissaire d’un clan mafieux espagnol, le clan Valls, et qu’il n’a pas quitté l’Espagne pour fuir le franquisme comme dans sa si romanesque version officielle mais pour développer en France les affaires mafieuses de son clan.
 
Justement, les affaires mafieuses se sont développées, et de façon très visible, dans et tout autour d’Evry dont il était le maire, comme celle avec le maire de Sainte-Geneviève-des-bois et sa fille qui font actuellement l’objet d’investigations pour des détournements de fonds importants sur des travaux publics, et il y a d’autres affaires du même genre qui sont déjà sorties ou qui sortent au fur et à mesure dans et tout autour d’Evry, son fief électoral.
 
Après mes envois à vous destinés, je suis allé chez Décathlon à la Z.A.C. de la Croix Blanche où j’avais rendez-vous pour l’entretien de mon vélo. Pendant la durée de ces réparations, je suis allé faire quelques achats dans un magasin juste à côté. Ensuite, je suis reparti de la Croix Blanche. Il est beaucoup plus difficile de sortir de cette Z.A.C. que d’y arriver en raison de l’absence quasiment totale de panneaux indicateurs pour Grigny. Je n’en ai jamais vu qu’un seul et ensuite plus rien. J’ai finalement décidé d’aller à la gare la plus proche pour rentrer chez moi. Il y avait, une fois de plus, une énorme panne, une panne vraiment gigantesque, sur cette fameuse ligne D du RER, la ligne RER des pannes à répétition. Les trains restaient très longtemps en gare et sinon ils roulaient quasiment au pas. J’ai fini pas sortir très tard à la gare de Viry-Châtillon, la plus proche pour rejoindre La Grande Borne de Grigny. Seulement, il y a une grande côte pour atteindre le plateau de Grigny, et je m’étais très chargé avec mes achats dans le magasin à côté de Décathlon. J’ai donc fait une pause dans cette côte que je passe habituellement, certes à pied sur le trottoir mais sans m’arrêter. Là, vu la charge des achats que je venais de faire, j’avais besoin d’une pause reposante dans cette côte. Je me suis donc installé, assis sur le trottoir avec mon vélo et mes achats à côté de moi pour me reposer avant de repartir.
 
Alors que je commençais à reprendre mes forces, une voiture s’arrêta devant moi. Il y avait quatre personnes à bord, elle était donc pleine, quatre personnes au faciès de type espagnol, un hasard, sans doute, en uniforme complet, haut et bas, d’agent du Ministère de l’Intérieur, encore un hasard, sûrement. Celui qui les dirigeait apparemment, le conducteur du véhicule, me tint des propos de bon Samaritain désireux de m‘apporter de l’aide. Il sortit même du véhicule pour être plus convaincant dans son désir de se porter à mon secours. Je lui ai alors demandé de quel service il était. Il m’a répondu avec véhémence qu’il n’était d’aucun service. Je lui ai fait savoir que je m’en tirais très bien tout seul, et que je faisais juste une petite pause avant de repartir. Il n’a pas insisté et toute son équipe en uniforme du Ministère de l’Intérieur est repartie.
 
J’étais pratiquement sur le point de terminer ma pause quand un autre véhicule s’arrêta à nouveau devant moi. Il n’y avait que deux personnes, un homme et une femme, et, cette fois-ci, deux places libres à l’arrière. Cet homme et cette femme, je les ai reconnus immédiatement puisque ce sont les deux agents des Renseignements Généraux qui sont chargés de ma personne sur ce secteur, et que je les croise régulièrement près de chez moi depuis des années. Bien sûr, j’ai fait, comme d’habitude, semblant de ne pas les reconnaître. C’est trop insultant pour un agent censé être secret de lui faire comprendre de quelque façon que ce soit qu’il est identifié depuis x temps, c’est le genre d’impair que j’essaie de ne pas commettre, à quoi bon être inutilement désagréable avec les gens ? L’homme me tint lui aussi des propos de bon Samaritain pour m’offrir à nouveau une aide que je déclinai, encore une fois, avec forte politesse, lui assurant que tout allait très bien pour moi et que j’étais sur le point de repartir. J’ai senti que l’homme et la femme n’y croyaient pas eux-mêmes car cela fait trop longtemps que nous nous voyons de plus ou moins loin, trop souvent que nous nous croisons pour ne pas nous connaître assez. Ils sont donc repartis.
 
Voilà les faits, les deux tentatives d’enlèvement discret à fin de meurtre discret de ma personne.
 
 
Monseigneur le Prince Paul de Maisonneuve, chef de la Maison Vannieuwenhuyze.
14, rue des Radars
91 350 Grigny
Téléphone : 01 69 21 85 20 / 09 53 21 99 39
Télécopie : 09 58 21 99 39
Courriel : [email protected]
 
 
 
Copie de mon courrier expédié en quatre exemplaires, deux par lettre et deux par courriel, dont ce courriel émis le 2013/02/12 à 13 h 51 :
 
Sent: Tuesday, February 12, 2013 1:51 PM
To: [email protected]
Subject: Demande de rendez-vous avec M. le Député Malek Boutih.
 
Grigny, le 2013/02/12.
 
Objet : demande de rendez-vous à fin d'entretien sur la situation de La  Grande Borne à Grigny après les travaux financés en fin de compte par
l'Etat Français dont vous êtes Député à l'Assemblée Nationale, chargé, entre autres, de la bonne utilisation de ses fonds publics.  
 
Monsieur le Député Malek Boutih,
 
Suite à l’entretien téléphonique que je viens d’avoir à l’instant avec votre assistante parlementaire de circonscription, Mme Loubna Méliane,
j’ai l’honneur de vous solliciter un rendez-vous afin de vous entretenir des travaux qui ont été faits dernièrement à La Grande Borne de Grigny.
Il y a eu, certes, de grandes améliorations par rapport à la situation antérieure mais aussi de vastes détériorations, dont certaines mettent en
péril la vie des habitants de La Grande Borne, à commencer par les enfants.
 
Des réalisations promises n’ont pas été tenues. De nombreuses autres réalisations relèvent du sabotage, principalement pour s’en mettre un peu plus dans la poche, mais pas seulement. Par exemple, tous les employés de la société Brézillon étaient complètement défoncés au cannabis dès dix heures du matin. Personnellement, je milite pour l’abolition de la prohibition mais défoncé ou beurré sur son lieu de travail et en activité, pour moi,
c’est le renvoi immédiat comme je pense que le veut la loi. L’état des lieux après travaux est catastrophique alors que promesse  nous avait été
faite du contraire.
 
A vue de nez, 50 à 70 % de travailleurs clandestins ont été utilisés pour la réalisation de ces travaux financés en fin de compte par l’Etat, Etat
Français qui ne récupèrera même pas les charges sociales sur cette immense masse de travailleurs clandestins qui sont des habitués de ce genre
d’opération (3 mois de chantier en Californie, 6 mois au Qatar, 3 mois en France, 6 mois en Alaska, etc.). A ce train, les finances publiques, dont
vous avez aussi la charge en tant que Député, ne risquent pas de s’améliorer, bien au contraire.
 
Je fais, bien sûr, partie de la principale association des locataires de La Grande Borne mais je ne vais même plus au local de cette association. La
résignation devant l’impuissance des locataires de La Grande Borne, impuissance, hélas réelle, et contre laquelle personne ne peut rien, cette
résignation a fini par l’emporter, ce qui est tout à fait normal. On ne peut pas demander tout le temps aux gens de soulever des montagnes, alors
que c’est impossible. Au bout d’un moment, ils arrêtent puisque cela ne mène à rien, absolument rien.
 
Dans l’attente d’un lieu, d’une date et d’une heure convenus de rendez-vous, veuillez accepter, Monsieur le Député à l’Assemblée Nationale,
l’assurance de ma sincère considération.
 
 
Monseigneur le Prince Paul de Maisonneuve, chef de la Maison Vannieuwenhuyze
14, rue des Radars
91 350 Grigny
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