Conjointement organisée du 09 au 10 juillet 2025 au Palais des Congrès de Yaoundé, sous le parrainage de la présidence, cette rencontre a pour but de renforcer l’appropriation et l’impact de l’économie bleue dans les pays du Golfe de Guinée afin de créer des richesses grâce aux mers, aux océans et aux eaux intérieures dans le but d’assurer le bien-être des populations tout en préservant durablement l’environnement.
Cette rencontre d’envergure mondiale a pour objectifs spécifiques d’adopter la Déclaration de Yaoundé sur l’économie bleue, d’encourager l’adoption d’un projet de résolution sur l’économie bleue dans le Golfe de Guinée en vue de son approbation par l’UA et par la suite son endossement par l’Assemblée générale des Nations-Unies, proposer un ensemble de principes volontaires pour une économie bleue durable et résiliente dans le Golfe de Guinée, créer un observatoire international sur l’économie bleue en Afrique centrale, promouvoir les meilleures pratiques, l’intégration des données scientifiques et les partenariats entre tous les acteurs de la chaine de valeur de l’économie bleue.
Prenaient part à la cérémonie d’ouverture, le vice-secrétaire générale de l’ONU Mme Amina J. Mohammed, Philémon Yang, président de la 79ème Assemblée générale des Nations-Unies, les membres du gouvernement en charge de l’économie bleue, des ambassadeurs, représentants des Organisations internationales, partenaires au développement et des experts.
A travers ces assises, le Cameroun ambitionne d’aboutir à plusieurs résultats structurants : adoption de la Déclaration de Yaoundé, formulation d’un projet de résolution à porter devant l’UA et l’ONU, création d’un Observatoire régional de l’économie bleue, définition de principes volontaires partagés, et plaidoyer pour un fonds bleu régional. En dépit d’énormes ressources dont regorge la mer, plusieurs Etats riverains des pays du Golfe vivent dans la précarité.
Conscients de ce paradoxe, ils sont décidés à relever les principaux défis : au plan environnemental, les changements climatiques ont abouti à l’élévation continue du niveau de la mer, l’acidification, la perte de la biodiversité côtière, la pollution marine. Il faut ajouter à cela, la persistance de l’insécurité, le trafic de la drogue, la pêche illégale, la contrebande qui constituent des véritables menaces pour les populations et l’économie nationale. Il faut rappeler que 38 sur 55 pays africains sont des Etats côtiers. Plus de 90% des échanges commerciaux se font par voie maritime.
Compte tenu du vaste potentiel aquatique du continent africain, l’Union africaine considère les océans et les mers d’Afrique comme la nouvelle frontière de la renaissance africaine. Dans son Agenda 2063, l’Organisation continentale fait de l’économie bleue, une priorité pour la construction d’une Afrique fondée sur une croissance inclusive et sur un développement durable.
A cet effet, l’UA a adopté en 2019, la stratégie AIM 2050 et la stratégie africaine pour l’économie bleue. Prennent part à ces travaux qui s’achèvent ce jeudi, plusieurs pays africains : Angola, Bénin, Cameroun, Congo, Côte d’ivoire, Gabon, Guinée équatoriale, Libéria, Nigeria, RDC, Sao Tomé et Principe.
Cette rencontre d’envergure mondiale a pour objectifs spécifiques d’adopter la Déclaration de Yaoundé sur l’économie bleue, d’encourager l’adoption d’un projet de résolution sur l’économie bleue dans le Golfe de Guinée en vue de son approbation par l’UA et par la suite son endossement par l’Assemblée générale des Nations-Unies, proposer un ensemble de principes volontaires pour une économie bleue durable et résiliente dans le Golfe de Guinée, créer un observatoire international sur l’économie bleue en Afrique centrale, promouvoir les meilleures pratiques, l’intégration des données scientifiques et les partenariats entre tous les acteurs de la chaine de valeur de l’économie bleue.
Prenaient part à la cérémonie d’ouverture, le vice-secrétaire générale de l’ONU Mme Amina J. Mohammed, Philémon Yang, président de la 79ème Assemblée générale des Nations-Unies, les membres du gouvernement en charge de l’économie bleue, des ambassadeurs, représentants des Organisations internationales, partenaires au développement et des experts.
A travers ces assises, le Cameroun ambitionne d’aboutir à plusieurs résultats structurants : adoption de la Déclaration de Yaoundé, formulation d’un projet de résolution à porter devant l’UA et l’ONU, création d’un Observatoire régional de l’économie bleue, définition de principes volontaires partagés, et plaidoyer pour un fonds bleu régional. En dépit d’énormes ressources dont regorge la mer, plusieurs Etats riverains des pays du Golfe vivent dans la précarité.
Conscients de ce paradoxe, ils sont décidés à relever les principaux défis : au plan environnemental, les changements climatiques ont abouti à l’élévation continue du niveau de la mer, l’acidification, la perte de la biodiversité côtière, la pollution marine. Il faut ajouter à cela, la persistance de l’insécurité, le trafic de la drogue, la pêche illégale, la contrebande qui constituent des véritables menaces pour les populations et l’économie nationale. Il faut rappeler que 38 sur 55 pays africains sont des Etats côtiers. Plus de 90% des échanges commerciaux se font par voie maritime.
Compte tenu du vaste potentiel aquatique du continent africain, l’Union africaine considère les océans et les mers d’Afrique comme la nouvelle frontière de la renaissance africaine. Dans son Agenda 2063, l’Organisation continentale fait de l’économie bleue, une priorité pour la construction d’une Afrique fondée sur une croissance inclusive et sur un développement durable.
A cet effet, l’UA a adopté en 2019, la stratégie AIM 2050 et la stratégie africaine pour l’économie bleue. Prennent part à ces travaux qui s’achèvent ce jeudi, plusieurs pays africains : Angola, Bénin, Cameroun, Congo, Côte d’ivoire, Gabon, Guinée équatoriale, Libéria, Nigeria, RDC, Sao Tomé et Principe.