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La Banque africaine de développement a soutenu l’organisation à Bissau du 25 janvier au 5 février 2020, d’un atelier de renforcement des capacités de l’équipe locale chargée de la révision de la Contribution déterminée au niveau national (CDN) de la Guinée-Bissau dans son « Volet adaptation » du secteur agriculture, foresterie et autres utilisations des terres (AFOLU).
Présidée par le ministre bissau-guinéen de l’Environnement et de la biodiversité, Viriato Luis Soares Cassama, la session de formation a regroupé vingt-cinq participants, issus des ministères clés impliqués dans le volet adaptation de la CDN. Durant les deux semaines, les experts nationaux se sont penchés sur l’analyse des risques et de la vulnérabilité du secteur AFOLU en Guinée-Bissau et sur l’identification et l’estimation des coûts des options d’adaptation.
À la fin de l’atelier, les participants, membres de l’équipe CDN de la Guinée-Bissau ont été déclarés aptes à détecter, analyser et cartographier les dynamiques de changements d’utilisation des terres. Ils sont désormais aussi capables d’analyser les tendances, scénarii et risques climatiques ainsi que la vulnérabilité climatique du secteur agricole, les impacts du changement climatique sur la production agricole et de mettre à l’échelle, les options d’adaptation et les coûts des impacts et de l’adaptation.
Le chef de la Division adaptation au changement climatique à la Banque africaine de développement, Al Hamndou Dorsouma, a déclaré à l’issue de la formation qu’il était essentiel de soutenir la composante adaptation des CDN de la Guinée-Bissau, « car à l’image des autres pays africains, la Guinée-Bissau est exposée aux effets néfastes du changement climatique… ». La Guinée-Bissau a intégré une composante « Adaptation » dans sa CDN, mais n’avait alors estimé que de façon très partielle les coûts de l’adaptation sur la base d’un Programme d'Action national d'adaptation aux changements climatiques (PANA). Elle souhaite pour la CDN en cours de révision, affiner cette estimation des coûts des impacts du changement climatique ainsi que ceux des stratégies d’adaptation.
Ces souhaits répondent à deux objectifs : communiquer à la communauté internationale les besoins majeurs d’adaptation pour un pays très vulnérable et favoriser la prise en compte de l’adaptation dans l’ensemble des politiques et programmes sectoriels du gouvernement. C’est pour atteindre ces objectifs que la Guinée-Bissau, à travers le ministère de l’Environnement et de la Biodiversité, a sollicité un appui de la Banque africaine de développement pour l’accompagner dans ce processus de renforcement des capacités de l’équipe chargée de la révision de la CDN.
Présidée par le ministre bissau-guinéen de l’Environnement et de la biodiversité, Viriato Luis Soares Cassama, la session de formation a regroupé vingt-cinq participants, issus des ministères clés impliqués dans le volet adaptation de la CDN. Durant les deux semaines, les experts nationaux se sont penchés sur l’analyse des risques et de la vulnérabilité du secteur AFOLU en Guinée-Bissau et sur l’identification et l’estimation des coûts des options d’adaptation.
À la fin de l’atelier, les participants, membres de l’équipe CDN de la Guinée-Bissau ont été déclarés aptes à détecter, analyser et cartographier les dynamiques de changements d’utilisation des terres. Ils sont désormais aussi capables d’analyser les tendances, scénarii et risques climatiques ainsi que la vulnérabilité climatique du secteur agricole, les impacts du changement climatique sur la production agricole et de mettre à l’échelle, les options d’adaptation et les coûts des impacts et de l’adaptation.
Le chef de la Division adaptation au changement climatique à la Banque africaine de développement, Al Hamndou Dorsouma, a déclaré à l’issue de la formation qu’il était essentiel de soutenir la composante adaptation des CDN de la Guinée-Bissau, « car à l’image des autres pays africains, la Guinée-Bissau est exposée aux effets néfastes du changement climatique… ». La Guinée-Bissau a intégré une composante « Adaptation » dans sa CDN, mais n’avait alors estimé que de façon très partielle les coûts de l’adaptation sur la base d’un Programme d'Action national d'adaptation aux changements climatiques (PANA). Elle souhaite pour la CDN en cours de révision, affiner cette estimation des coûts des impacts du changement climatique ainsi que ceux des stratégies d’adaptation.
Ces souhaits répondent à deux objectifs : communiquer à la communauté internationale les besoins majeurs d’adaptation pour un pays très vulnérable et favoriser la prise en compte de l’adaptation dans l’ensemble des politiques et programmes sectoriels du gouvernement. C’est pour atteindre ces objectifs que la Guinée-Bissau, à travers le ministère de l’Environnement et de la Biodiversité, a sollicité un appui de la Banque africaine de développement pour l’accompagner dans ce processus de renforcement des capacités de l’équipe chargée de la révision de la CDN.