
C’est ce qu’a annoncé le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, samedi dans un communiqué. Dans le même temps, il a souligné saluer l’idée de rechercher une solution pacifique parallèlement aux préparatifs d’une intervention militaire.
"L'Union européenne salue les décisions prises par les chefs d'État de la Cédéao lors du deuxième sommet d'urgence sur la situation au Niger le 10 août, notamment la volonté de rechercher une solution diplomatique à la crise actuelle, compte tenu de la mobilisation parallèle des forces de réserve de la Cédéao. L'Union européenne soutient pleinement les efforts déployés par la Cédéao et est prête à contribuer à leur mise en œuvre en introduisant un nouveau régime de sanctions personnelles", a précisé M. Borrell.
Il a également assuré que l'UE "continuerait à fournir une aide humanitaire au Niger et se tiendrait".
Plus tôt, la diplomatie européenne a déclaré que certains de ses employés resteraient dans le pays "pour apporter une aide humanitaire à la population".
Des militaires nigériens se sont rebellés et ont annoncé le 26 juillet au soir la destitution du président Mohamed Bazoum, la fermeture des frontières, l’introduction d’un couvre-feu, la suspension de la Constitution et l’interdiction de tous les partis politiques. Deux jours plus tard, ils ont proclamé chef d’État le général Abdourahamane Tchiani, qui dirigeait la garde présidentielle, et formé le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP).
Le 10 août, les chefs des États membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) se sont mis d'accord pour lancer une opération militaire au Niger "dans les plus brefs délais", a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara à son retour d'Abuja, la capitale du Nigeria, où a eu lieu un sommet de la communauté.
"L'Union européenne salue les décisions prises par les chefs d'État de la Cédéao lors du deuxième sommet d'urgence sur la situation au Niger le 10 août, notamment la volonté de rechercher une solution diplomatique à la crise actuelle, compte tenu de la mobilisation parallèle des forces de réserve de la Cédéao. L'Union européenne soutient pleinement les efforts déployés par la Cédéao et est prête à contribuer à leur mise en œuvre en introduisant un nouveau régime de sanctions personnelles", a précisé M. Borrell.
Il a également assuré que l'UE "continuerait à fournir une aide humanitaire au Niger et se tiendrait".
Plus tôt, la diplomatie européenne a déclaré que certains de ses employés resteraient dans le pays "pour apporter une aide humanitaire à la population".
Des militaires nigériens se sont rebellés et ont annoncé le 26 juillet au soir la destitution du président Mohamed Bazoum, la fermeture des frontières, l’introduction d’un couvre-feu, la suspension de la Constitution et l’interdiction de tous les partis politiques. Deux jours plus tard, ils ont proclamé chef d’État le général Abdourahamane Tchiani, qui dirigeait la garde présidentielle, et formé le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP).
Le 10 août, les chefs des États membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) se sont mis d'accord pour lancer une opération militaire au Niger "dans les plus brefs délais", a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara à son retour d'Abuja, la capitale du Nigeria, où a eu lieu un sommet de la communauté.