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La Camerounaise Jessy Bityeki est nomminée pour le prix Anzishaau Temple de la Renommée en tant qu'entrepreneur modèle ayant débuté à l'âge de 24 ans


- 24 Juillet 2020



Anzisha Prize

Le prix Anzisha (www.AnzishaPrize.org), un partenariat avec L'Académie de Leadership Africaine et la Mastercard Foundation, célèbre le parcours d'entrepreneurs émérites dans le cadre de la création de la nouvelle liste du Temple de la Renommée. L'entrepreneuse camerounaise Jessy Bityeki a été nomminée comme l'une des dix entrepreneurs africains pour le prix Anzishaau au Temple de la Renommée qui met en lumière les transitions réussies vers l'entreprenariat avant l'âge de 25 ans.

Le Temple de la Renommée présente un groupe diversifié de cinq femmes et cinq hommes entrepreneurs dont la transition du lycée ou de l'université vers l'entrepreneuriat démontre l'importance de démarrer tôt pour façonner une carrière d'entrepreneur. Les lauréats au Temple de la Renommée sont des entrepreneurs de divers secteurs et représentent six pays africains, dont l'Afrique du Sud, le Nigéria, le Kenya, la Zambie, le Cameroun et l'Égypte. Leurs expériences de réussites et de triomphes sont une source d'inspiration et un point de référence pour les jeunes Africains.

Au cours de la dernière décennie, la célébration du  prix Anzisha a soutenu et célébré les jeunes entrepreneurs et nous porte à croire que les transitions réussies entre l'école et l'entrepreneuriat sont sous-investies. Les noms figurant sur cette liste illustrent le fait que le jury du prix Anzisha est depuis longtemps convaincu que davantage de jeunes devraient opter pour l'esprit entrepreneurial afin de contribuer à réduire le chômage des jeunes sur le continent. Tout le monde ne peut pas être entrepreneur, mais ceux qui sont intéressés doivent être encouragés et soutenus dans leur  ambition.

« Alors que le taux de chômage des jeunes augmente et que les jeunes se battent pour trouver un emploi rémunéré, nous voulons ouvrir un dialogue sur le soutien nécessaire aux jeunes pour faire de l'entrepreneuriat un choix de carrière. Les éducateurs, les parents, les investisseurs et les décideurs politiques ont le pouvoir d'influencer les décisions des jeunes pour qu'ils considèrent l'entrepreneuriat comme une option », déclare Melissa Mbazo - Ekpenyong, directrice adjointe du Prix Anzisha.

À l'âge de 24 ans, Jessy Bityeki a lancé sa première entreprise, Queen Services - une société qui vendait des équipements de télécommunication. Douze ans plus tard, elle transforme Queen Services en Vox Pop, une agence de marketing numérique qui aide les petites entreprises à faire accroître la visibilité de leur marque. Influencée par le fait de voir son père gérer plusieurs entreprises, elle savait que devenir entrepreneur était son « destin ». «Ma mère n'y croyait pas Elle voulait m'emmener au village pour consulter les anciens. Pour elle, le chemin était le suivant : obtenir mon diplôme et trouver un bon emploi. J'ai fait les deux et j'étais encore ennuyée et insatisfaite», dit-elle.

Aux côtés de Jessy Bityeki, on trouve d'autres entrepreneurs remarquables comme Temitope Ogunsemo, Rapelang Rabana et Wandile Zondo. Leurs histoires collectives de transition vers l'entrepreneuriat mettent en lumière ce que signifie le fait de renoncer aux options de carrière traditionnelles.

« Notre intention est de présenter chaque année dix entrepreneurs africains dont les parcours montrent la transition vers l'entreprenariat. Nous ne cherchons pas seulement à offrir un parcours entrepreneurial prestigieux, mais plutôt un parcours fait de défis et de réussites afin de dessiner un tableau plus complet de ce que signifie et de ce qu'il faut pour être un entrepreneur sur le continent », commente Didi Onwu, chargé de communication et de relations avec les parties prenantes, qui a travaillé à la création de la liste.

Alors que les arguments en faveur du choix d'une carrière traditionnelle par les jeunes ont créé une compréhension monolithique de la réussite, l'esprit d'entreprise offre une contre-pensée qui démontre que la réussite peut être atteinte dès le plus jeune âge.

Pour en savoir plus sur les débuts de ces entrepreneurs, consultez le site https://Anzishaprize.org/hall-of-fame pour obtenir la liste complète, des reportages et des vidéos exclusives. Assurez-vous de vous joindre à la conversation sur les médias sociaux (https://bit.ly/2ONXJb0), en utilisant : #AnzishaHOF et suivez @anzishaprize

Nous attendons votre contribution pour l'intronisation du prochain membre du Temple de la renommée ! Nous recherchons des entrepreneurs de différents pays dont le parcours de départ précoce devrait être célébré. Si vous connaissez un entrepreneur dans votre pays qui pourrait être le prochain membre du Temple de la renommée, informez-nous ici  (https://bit.ly/3jCeDr9)!

Temple de la Renommée de 2020:

Jessy Bityeki
Jessy Bityeki a suivi la voie traditionnelle qui consiste à aller à l'université et à trouver un emploi dans une entreprise. Mais à l'âge de 24 ans, elle a décidé que la création de son entreprise était plus intéressante.

Mutoba Ngoma
À l'âge de 21 ans, après avoir obtenu son diplôme universitaire, Mutoba Ngoma a effectué un saut dans l'inconnu en devenant entrepreneur. Inspiré par un documentaire, il a pu se plonger dans le secteur de l'énergie et construire les industries Tapera.

Temitope Ogunsemo
Du soutien à l'investissement monétaire, les idées entrepreneuriales de Temitope ont d'abord été défendues par la famille, faisant de sa transition de l'université à l'entreprenariat un effort familial.

Njeri Rionge
Njeri Rionge a passé ses journées d'école primaire à vendre des légumes sur l'un des marchés les plus fréquentés de Nairobi. Quelles compétences entrepreneuriales a-t-elle maîtrisées pour devenir l'entrepreneuse en série qu'elle est aujourd'hui ?

Wandile Zondo
Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, Wandile Zondo s'est aventuré dans le monde de l'entrepreneuriat. Ayant pour vision de révolutionner le streetwear des townships, il a créé Thesis Lifestyle.

Rapelang Rabana
En dernière année d'université, Rapelang Rabana a eu un avant-goût du monde de l'entreprise en créant une entreprise avec des amis. Il est intéressant de noter que ce n'était pas la première fois qu'elle créait une entreprise, car elle avait déjà remis en question le cheminement classique pour obtenir un emploi.

Musa Kalenga
Alors que la plupart des étudiants s'efforçaient à obtenir de bonnes notes à l'université, Musa et ses amis essayaient de développer des idées qui feraient d'eux leurs propres patrons. Comment un étudiant dynamique a-t-il réussi à catalyser son amour des affaires à l'âge de 20 ans?

Baratang Miya
L'entrepreneuse Sud-Africain Baratang Miya s'est lanceédans l'entreprenariat à l'âge de 14 ans. De nombreuses années plus tard, elle incite les jeunes femmes et les jeunes filles à appréhender la technologie autrement.

Ntuthuko Shezi
En tant qu'élève de l'école primaire, Nthuthuko Shezi était déjà un entrepreneur et à l'âge de 21 ans, il avait lancé sa première entreprise. Aujourd'hui, avec son entreprise classée numéro 14 et en évolution, cet entrepreneur en série nous explique comment le fait de commencer tôt peut mener à de multiples succès.

Dina el Mofty
Après avoir obtenu son diplôme universitaire à l'âge de 24 ans, l'entrepreneuse égyptienne Dina el Mofty avait pour mission de faire quelque chose d'important. C'est pour cette raison qu'elle a créé sa propre entreprise, Injaz Egypt.

Découvrez tous les profils sur https://Anzishaprize.org/hall-of-fame

Distribué par APO Group pour Anzisha Prize.

Contact presse :
Didi Onwu
Académie africaine du leadership
+27 11 699 3000
[email protected] ou [email protected]
www.AnzishaPrize.org

À propos du prix Anzisha :
Le prix Anzisha (www.AnzishaPrize.org) vise à augmenter de manière fondamentale et significative le nombre d'entrepreneurs/créateurs d'emplois en Afrique. Nous testons, mettons en œuvre puis partageons des modèles pour identifier, développer et connecter les très jeunes entrepreneurs à fort potentiel (15-22 ans) - et leurs parents et enseignants. Ces efforts assureront le succès collectif de notre écosystème en créant une réserve d'entrepreneurs capables d'évoluer sur le long terme. Le prix Anzisha est un partenariat entre l'académie africaine du leadership et la fondation Mastercard.

À propos de l'académie africaine du leadership :
L'académie africaine du leadership (ALA) (http://AfricanLeadershipAcademy.org) cherche à transformer l'Afrique en développant un puissant réseau de dirigeants d'entreprises qui travailleront ensemble pour obtenir un impact social extraordinaire. Chaque année, l'ALA réunit les jeunes leaders les plus prometteurs des 54 nations africaines pour suivre un programme pré-universitaire en Afrique du Sud axé sur le leadership, l'entrepreneuriat et les études africaines. L'ALA poursuit son accompagnement de ces leaders tout au long de leur vie, à l'université et plus encore, en leur offrant une formation continue en leadership et en entrepreneuriat et en les reliant à des réseaux de personnes et de capitaux à fort impact qui peuvent catalyser des changements à grande échelle. Pour plus d'information visitez http://AfricanLeadershipAcademy.org.

À propos de la Fondation Mastercard :
La Fondation Mastercard (www.MastercardFdn.org) travaille avec des organisations visionnaires pour permettre aux jeunes en Afrique et dans les communautés indigènes du Canada d'accéder à un travail digne et épanouissant.  Il s'agit de l'une des plus grandes fondations privées au monde dont la mission est de faire progresser l'apprentissage et de promouvoir l'inclusion financière afin de créer un monde intégatif et équitable. La Fondation a été créée par Mastercard en 2006 en tant qu'organisation indépendante avec son propre Conseil d'administration et sa propre Direction. Pour plus d'informations sur la Fondation, veuillez consulter le site : www.MastercardFdn.org.



Source : https://www.africa-newsroom.com/press/la-camerouna...



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