Dans son message à la Nation, le président Mahamat Idriss Déby Itno a consacré un passage fort à la lutte contre la corruption, en réaffirmant le rôle central de l’Autorité Indépendante de Lutte contre la Corruption (AILC) dans la construction d’un État moderne, juste et efficace. Pour le chef de l’État, les actions déjà engagées par cette institution méritent un soutien total, tant elles répondent à une attente profonde des citoyens en matière de bonne gouvernance.
Toutefois, ce soutien s’accompagne d’exigences claires. Le Président a insisté sur la nécessité pour l’AILC d’exercer sa mission dans le strict respect des principes d’impartialité, de transparence et de légalité. Il a fermement mis en garde contre toute dérive qui ferait de cet organe un instrument de règlements de comptes, de chasse aux sorcières sélective ou de pressions politiques et de lobbying. La crédibilité de la lutte contre la corruption dépend, selon lui, de l’égalité de traitement de tous les citoyens, sans distinction de statut, de fonction ou d’appartenance.
Dans cette perspective, l’Autorité est appelée à se départir de toute attitude reprochable et à assumer pleinement ses responsabilités sur l’ensemble du territoire national et à tous les niveaux de l’administration. Le message est sans ambiguïté : la lutte contre la corruption doit être globale, cohérente et menée avec rigueur, afin de restaurer la confiance entre l’État et les citoyens.
Le Président a également lancé un appel direct à l’ensemble des Tchadiens, les invitant à soutenir et à accompagner l’Autorité Indépendante de Lutte contre la Corruption dans l’accomplissement de sa mission. Pour lui, cette mobilisation citoyenne est indispensable pour ancrer durablement une culture de redevabilité et de probité dans la gestion des affaires publiques.
Enfin, le chef de l’État a rappelé un principe fondamental : sans une administration transparente et débarrassée des pratiques malsaines, aucun développement durable n’est possible. La lutte contre la corruption apparaît ainsi non seulement comme un impératif moral, mais aussi comme une condition essentielle à la croissance économique, à la justice sociale et à la stabilité du pays.
Toutefois, ce soutien s’accompagne d’exigences claires. Le Président a insisté sur la nécessité pour l’AILC d’exercer sa mission dans le strict respect des principes d’impartialité, de transparence et de légalité. Il a fermement mis en garde contre toute dérive qui ferait de cet organe un instrument de règlements de comptes, de chasse aux sorcières sélective ou de pressions politiques et de lobbying. La crédibilité de la lutte contre la corruption dépend, selon lui, de l’égalité de traitement de tous les citoyens, sans distinction de statut, de fonction ou d’appartenance.
Dans cette perspective, l’Autorité est appelée à se départir de toute attitude reprochable et à assumer pleinement ses responsabilités sur l’ensemble du territoire national et à tous les niveaux de l’administration. Le message est sans ambiguïté : la lutte contre la corruption doit être globale, cohérente et menée avec rigueur, afin de restaurer la confiance entre l’État et les citoyens.
Le Président a également lancé un appel direct à l’ensemble des Tchadiens, les invitant à soutenir et à accompagner l’Autorité Indépendante de Lutte contre la Corruption dans l’accomplissement de sa mission. Pour lui, cette mobilisation citoyenne est indispensable pour ancrer durablement une culture de redevabilité et de probité dans la gestion des affaires publiques.
Enfin, le chef de l’État a rappelé un principe fondamental : sans une administration transparente et débarrassée des pratiques malsaines, aucun développement durable n’est possible. La lutte contre la corruption apparaît ainsi non seulement comme un impératif moral, mais aussi comme une condition essentielle à la croissance économique, à la justice sociale et à la stabilité du pays.
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Lutte contre la corruption au Tchad : le Président appelle à une action impartiale et sans complaisance








