Maroc : Les enseignants stagiaires dans les rues pour défendre leur fonction

Le 20 mars, Casablanca la capitale économique marocaine, a eu rendez-vous avec un moment historique, "la marche de liberté", la quatrième de son genre organisée par les professeurs stagiaires.

À peine 7 heures du matin, toutes les routes qui mènent vers la place Maréchal, le cœur de palpitant de la capitale, connaient un mouvement surnaturel, des miliers des manifestants venus de tous les coins du Maroc, et à côté des 10 000, professeurs stagiaires, leurs alliés (familles, syndicats, étudiants, partis politiques, organisations de la société civile, et autres... ) avaient répondu à l'appel pour "défendre la fonction et l'école publiques".

Environ 75 000, participants, chiffre historique, montrant l'accord populaire que connaît la cause nationale des professeurs stagiaires. La marche prit départ vers 10 heures, la circulation bloquée, les manifestants crient de toute force "le peuple! ... veut... abolir les deux décrets!!!", et dénonçent la violence barbare irresponsable choisie par le gouvernement comme approche contre les professeurs, causant des centaines des blessures dangereuses depuis le début de leurs manifestations pacifiques. La population casaouie était ébahie et n'a trouvé qu'acclamer les miliers de manifestants. L'un des figure les plus célèbres, le juge congedié "Mohamed El Haini", était présent, et il a dénoncé les deux décrets en les décrivant de "non constitutionnels". La marche blanche, traversant les grands avenus de Casablanca, términée par un sit-in qui a duré 3 heures à côté du fameux (TWIN CENTRE).

Enfin, force est de rappeler que le gouvernement marocain n'a pas montré aucune bonne intention pour trouver une solution finale au problème qui à duré plus de 5 mois et qui a dépassé les frontières.