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Michel Djotodia travaille à la partition de la Centrafrique


- 10 Mars 2014



Par Igore Nguéséwane

Michel Djotodia. Crédit photo : Sources
Michel Djotodia. Crédit photo : Sources
Ces temps-ci, le sujet du moment dans les chancelleries et les capitales occidentales est le nom de l’ex-président centrafricain François Bozizé et l'un de ses fils, Jean-Francis, qui figure sur une liste de personnalités à sanctionner soumise par la France au Conseil de sécurité des Nations unies. Cette liste, la première concernant la Centrafrique, comporte les noms de huit responsables soupçonnés de soutenir les Séléka ou les anti-balaka.
 
Mais ce que l’on entend pas, c’est que le sanguinaire Michel Djotodia et certains membres de sa bande comme Nourredine Adam, Crétin Mboli Goumba et Adrien Poussou aussi sont dans le viseur de la communauté internationale. « On pense que ce sont des gros poissons auxquels la justice internationale doit s’intéresser », indique-t-on au quai d’Orsay. Et c’est à juste titre.
 
Car le criminel Djotodia avec ses complices travaille méthodiquement à la partition de la Centrafrique. Sentant son heure arrivée, Djotodia avait fait évacuée toute sa famille au Benin avant de louer des camions de la famille Yalo pour le transport des milliers de musulmans centrafricains dans les préfectures du nord. Il a donner beaucoup d’argent à Nourredine Adam qui est actuellement non pas au Nigéria comme le prétend les Français mais plutôt à Birao. Sa destination finale est Bria. C’est ce dernier avec son compère « général » Bachar l’homme des massacres à Bangui qui vont déclencher les hostilités conduisant à la scission du pays. C’est bien Djotodia qui a demandé à son ami et frère musulman Abakar Sabone de créer le fameux mouvement de défense des musulmans centrafricains. Le frère de ce dernier qui a abandonné son poste de DG de l’ART depuis et qui se trouve actuellement à N’Djamena prend des contacts avec les hommes d’affaires chinois dans la capitale tchadienne. Djotodia a également reçu le soutien financier d’un cheick saoudien, intéressé par les diamants de Bria.
 
Leur objectif est de créer la République du Haut Oubangui. Poussou est chargé de rédigé la constitution et l’hymne de la république du haut oubangui et Mboli-Goumba qui se trouve actuellement à Washington doit rechercher des financements et le soutien des américains. C’est lui qui avait introduis Djotodia auprès du pétrolier américain Grinberg qui a financer la rébellion Séléka.
 
Djotodia veut également déstabiliser le Congo Brazzaville et le Tchad. Il n’a pas supporté que ces deux parrains l’ont lâché. Il a prit contact avec des anciens rebelles congolais et tchadiens. Il y a un opposant de Sassou Nguesso qui est devenu un visiteur assidu de Djotodia à qui il a demandé un financement. On voit se type régulièrement à Cotonou avec Djotodia. L’objectif des congolais est de créer une nouvelles rébellion qui va empêcher Sassou de modifier la constitution. Ces derniers pense que la France qui n’aime pas Sassou va les soutenir.



1.Posté par niko le 11/03/2014 08:45 (depuis mobile) | Alerter
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Bientôt la cour pénale internationale ce sont des rêves ils sont tous contrôlé on verra bien avec le sang des innocents dans leur que dieu les châtie

2.Posté par ADAM Valerie le 15/03/2014 07:56 | Alerter
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Pour la paix en Centrafrique, le problème du pétrole devra être à l'ordre de jours des débats, sans quoi la crise centrafricain ne trouvera jamis et jamis de solution. il ya donc nécessite de l'organisation d'une table ronde ou d'un sommet internationale par le gouvernement de transition avec les principaux protagonistes du pétrole Centrafricain et ses partenaires: il s'agit de
- Glimbert qui détient un contrat signé par le feu patassé
-Consortium Chine pétrolium et Soudan, contrat passé par M.BOZIZE
-La Qatari, contrat passé par M.DJOTODIA
-L'Afrique du sud, contrat passé par M.BOZIZE (bloc sud ouest à la frontière avec le congo)
-La France qui en fait la réserve d'avenir
-Le Tchad qui partage le même gisement
-Le Congo qui partage le même gisement
-le Cameroun qui doit assurer le transit vers le port de Kribi

les invités:
-La CEMAC
-LA CEEAC
-L'UA
-L'UE
-Les USA
-La Chine
-Le Japon
-L'inde

A l'issue de cette table ronde, le gouvernement doit prendre en compte les exigences de chaque partie, mettre en place une commission sous l'égide de l'UA chargée d'étudier les propositions, soumettre à l'instance un plan d'action et assurer le suivi de son exécution.

A mon avis, tous les détenteurs de contrat pétrolier en RCA doit détenir un lot, sans quoi le risque de scission évoluera et entraînera le pays dans une guèrre qui va durée moins 20 ans. les Quatari et Glimberg ont les moyens de financer sur 10 à 20 ans la guerre pour obtenir la partition du pays et reccuperer à terme leurs investissements.
Il revient donc aux Centrafricains de prendre à bras le corsp ce problème et d'anticiper pour trouver une solution diplomatique par le dialogue avec les principaux acteurs du pétrole centrafricain.

3.Posté par Nambole le 15/03/2014 08:43 | Alerter
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La RCA restera une et indivisible. L argent facile n est qu'un cercueil pour soit ou pou sa progéniture.

4.Posté par The Central African Muslim Citizen le 15/03/2014 14:16 (depuis mobile) | Alerter
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La Centrafrique doit être diviser,car elle n'est pas impaire,n'est-ce pas la seule solution pour éviter ces voyous chrétiens d'anti Balaka?

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