Les Chefs d'État et de Gouvernement de la CIRGL ont, après une analyse de la situation en République Centrafricaine, relevé une aggravation de la situation sécuritaire, consécutive à la persistance des actions militaires menées par les forces rebelles. Les dirigeants de la CIRGL ont également fait observer que l’embargo des Nations Unies fragilise les autorités légales de la RCA. « … les autorités légales éprouvent des difficultés à assumer leurs missions légitimes de sécurité et de protection en raison de leurs obligations de se conformer aux décisions du Conseil de Sécurité de l’ONU, prises en vertu de la résolution 2536 (2020) », indique le communiqué final des travaux qui ajoute que « les forces rebelles s’approvisionnent en armes de plus en plus sophistiquées et d'autres moyens pour mener à bien leurs actions contre les populations et les autorités légitimes de la République Centrafricaine, ainsi qu’une forte présence de mercenaires au sein des forces rebelles ».
Ces rebelles ont mis en échec tous les efforts menés pour la consolidation de la paix par le dialogue, en République Centrafricaine, avec la participation louable de la MINUSCA. Ils violent en permanence leurs engagements dans le cadre de l’Accord Politique pour la Paix et la Réconciliation, signé le 06 février 2019, entre la Gouvernement et les factions armées.
Ainsi le mini-sommet de Luanda s’est présenté comme une opportunité à ne pas rater dans la recherche des meilleurs moyens pouvant permettre de parvenir à une solution juste et durable, garantissant la paix et la sécurité en Centrafrique, un pays qui tend à sombrer dans le chaos, menaçant de fait, la paix, la sécurité et la stabilité dans la sous-région, et principalement dans les pays voisins de la République Centrafricaine.
C’est ainsi que, renouvelant leur engagement à privilégier le dialogue et la concertation permanente entre les acteurs, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont lancé un appel à toutes les forces rebelles à observer un cessez-le-feu unilatéral et immédiat, à se désengager de l’encerclement de Bangui et retrouver leur position initiale.
Les dirigeants de la CIRGL ont, par ailleurs, demandé aux groupes rebelles de dégager immédiatement le corridor Douala-Bangui pour permettre la libre circulation des personnes et biens ; ainsi qu’ils ont exhorté tous les acteurs politiques à ne recourir qu’aux voies et moyens légaux pour manifester leurs contestations.
Le mini-sommet de Luanda a condamné les exactions et les assassinats commis sur le personnel civil, humanitaire et Casques Bleus des Nations Unies, avant de demander que la justice soit rendue.
La CIRGL a donné mandat à Denis Sassou-N’Guesso, président en exercice de la CEEAC et à João Manuel Gonçalves Lourenço, président de la CIRGL, d’entreprendre les démarches nécessaires auprès du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la levée de l’embargo sur les armes. Les chefs d’Etat et de gouvernement de la CIRGL devraient se retrouver à nouveau dans dix jours pour un autre sommet.
Denis Sassou-N’Guesso, président de la République du Congo et président en exercice de la CEEAC, Idriss Déby Itno, président du Tchad, et Faustin-Archange Touadera, président de la République centrafricaine, ont participé à ce mini-sommet aux cotés de João Manuel Gonçalves Lourenço, Président de la République d’Angola et Président en exercice de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL).
Ces rebelles ont mis en échec tous les efforts menés pour la consolidation de la paix par le dialogue, en République Centrafricaine, avec la participation louable de la MINUSCA. Ils violent en permanence leurs engagements dans le cadre de l’Accord Politique pour la Paix et la Réconciliation, signé le 06 février 2019, entre la Gouvernement et les factions armées.
Ainsi le mini-sommet de Luanda s’est présenté comme une opportunité à ne pas rater dans la recherche des meilleurs moyens pouvant permettre de parvenir à une solution juste et durable, garantissant la paix et la sécurité en Centrafrique, un pays qui tend à sombrer dans le chaos, menaçant de fait, la paix, la sécurité et la stabilité dans la sous-région, et principalement dans les pays voisins de la République Centrafricaine.
C’est ainsi que, renouvelant leur engagement à privilégier le dialogue et la concertation permanente entre les acteurs, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont lancé un appel à toutes les forces rebelles à observer un cessez-le-feu unilatéral et immédiat, à se désengager de l’encerclement de Bangui et retrouver leur position initiale.
Les dirigeants de la CIRGL ont, par ailleurs, demandé aux groupes rebelles de dégager immédiatement le corridor Douala-Bangui pour permettre la libre circulation des personnes et biens ; ainsi qu’ils ont exhorté tous les acteurs politiques à ne recourir qu’aux voies et moyens légaux pour manifester leurs contestations.
Le mini-sommet de Luanda a condamné les exactions et les assassinats commis sur le personnel civil, humanitaire et Casques Bleus des Nations Unies, avant de demander que la justice soit rendue.
La CIRGL a donné mandat à Denis Sassou-N’Guesso, président en exercice de la CEEAC et à João Manuel Gonçalves Lourenço, président de la CIRGL, d’entreprendre les démarches nécessaires auprès du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la levée de l’embargo sur les armes. Les chefs d’Etat et de gouvernement de la CIRGL devraient se retrouver à nouveau dans dix jours pour un autre sommet.
Denis Sassou-N’Guesso, président de la République du Congo et président en exercice de la CEEAC, Idriss Déby Itno, président du Tchad, et Faustin-Archange Touadera, président de la République centrafricaine, ont participé à ce mini-sommet aux cotés de João Manuel Gonçalves Lourenço, Président de la République d’Angola et Président en exercice de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL).