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Partie 1: Chronique du colonel WAIS OMAR BOGOREH
Dans l’histoire moderne de l’Afrique, certaines personnalités ont marqué ce continent par leurs actions, par leur détermination et engagement en faveur de leur pays. Certains ont brillé de manière positive et d’autres de manière négative.
Dans le cas de ma chère patrie de Djibouti meurtrie par la pauvreté extrême, la corruption, le tribalisme, le chômage et la mauvaise gouvernance, je vais me consacrer à relater le destin exceptionnel du Colonel Wais Omar Bogoreh, Commandant de la Garde-Côte de Djibouti, institution Républicaine crée par décret présidentiel le 4 décembre 2010 et qui est pourtant perçue comme un Etat dans un Etat.
Je vais m’attarder aussi à retracer l’histoire de cet homme très visible de la presse de Djibouti ou à la RTD pour la célébration des cérémonies organisées à l’honneur de ses soldats.
Alors pour commencer l’histoire de ce colonel WOB, il est essentiel de se poser les questions suivantes ?
Qui est Wais OMAR BOGOREH ? Quels sont ses bagages académiques, militaires ou universitaires ?
Quel est le rôle WOB en matière de blanchiment d’argent, de trafic de contrebande ? Quel financement ou budget la Garde-Côte profite-t-elle pour fonctionner? Est-elle sous la tutelle du Ministère de l’Equipement et des Transports ? Ou est-elle directement liée par le Ministère de la défense représenté par le Général Zakaria Cheik Osman,Chef d’Etat Major General des armées de Djibouti ?Pourquoi le contrôle du Budget de cet institution échappe-t-elle au Ministère de l’Economie ou du Budget ?Pourquoi le cabinet militaire de la Présidence de Djibouti lui donne la carte blanche à ce colonel ? Bénéficie-t-il une certaine complicité avec le cabinet militaire de la présidence ? Est-il intouchable ?collabore-t-il avec le Palais de Justice ? Quel rapport existe-t-il entre la garde-côtière de Djibouti et les forces étrangères stationnées à Djibouti notamment avec les Italiens et les Espagnoles?
Nous verrons aussi les modalités et les critères de formation ou de stage du personnel de cette institution sans oublier au sort réservé des anciens OPJ de la gendarmerie en service ? Que reste-t-il des éléments transférés de la gendarmerie ? Et enfin pourquoi le colonel WOB porte-t-il cette haine envers ces officiers qui sont pourtant compétents et expérimentés ? Sont-ils une menace pour lui et pour sa survie ?
C’est à ce paquet des questions que je vais répondre pour donner plus de détail sur cette institution de la Garde-Côte de Djibouti commandé par le colonel Wais
Dans le cas de ma chère patrie de Djibouti meurtrie par la pauvreté extrême, la corruption, le tribalisme, le chômage et la mauvaise gouvernance, je vais me consacrer à relater le destin exceptionnel du Colonel Wais Omar Bogoreh, Commandant de la Garde-Côte de Djibouti, institution Républicaine crée par décret présidentiel le 4 décembre 2010 et qui est pourtant perçue comme un Etat dans un Etat.
Je vais m’attarder aussi à retracer l’histoire de cet homme très visible de la presse de Djibouti ou à la RTD pour la célébration des cérémonies organisées à l’honneur de ses soldats.
Alors pour commencer l’histoire de ce colonel WOB, il est essentiel de se poser les questions suivantes ?
Qui est Wais OMAR BOGOREH ? Quels sont ses bagages académiques, militaires ou universitaires ?
Quel est le rôle WOB en matière de blanchiment d’argent, de trafic de contrebande ? Quel financement ou budget la Garde-Côte profite-t-elle pour fonctionner? Est-elle sous la tutelle du Ministère de l’Equipement et des Transports ? Ou est-elle directement liée par le Ministère de la défense représenté par le Général Zakaria Cheik Osman,Chef d’Etat Major General des armées de Djibouti ?Pourquoi le contrôle du Budget de cet institution échappe-t-elle au Ministère de l’Economie ou du Budget ?Pourquoi le cabinet militaire de la Présidence de Djibouti lui donne la carte blanche à ce colonel ? Bénéficie-t-il une certaine complicité avec le cabinet militaire de la présidence ? Est-il intouchable ?collabore-t-il avec le Palais de Justice ? Quel rapport existe-t-il entre la garde-côtière de Djibouti et les forces étrangères stationnées à Djibouti notamment avec les Italiens et les Espagnoles?
Nous verrons aussi les modalités et les critères de formation ou de stage du personnel de cette institution sans oublier au sort réservé des anciens OPJ de la gendarmerie en service ? Que reste-t-il des éléments transférés de la gendarmerie ? Et enfin pourquoi le colonel WOB porte-t-il cette haine envers ces officiers qui sont pourtant compétents et expérimentés ? Sont-ils une menace pour lui et pour sa survie ?
C’est à ce paquet des questions que je vais répondre pour donner plus de détail sur cette institution de la Garde-Côte de Djibouti commandé par le colonel Wais
