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RCA: L'électricité est coupée à Bangui
En organisant une coupure de réseaux électriques pour empêcher le Conseil National de Transition de travailler, en s'obstinant à vouloir manipuler la communauté internationale, comme si la République Centrafricaine n'en fait pas partie, les autorités intérimaires de Centrafrique ont coupé le courant. Le président du CNT qui a été corrompu avec une partie de cette somme angolaise ne l'as toujours pas remise au Trésor Public Centrafricain, question de transparence. Maintenant qu'il sait que c'est un détournement, le monde entier attend de voir l'honnêteté ou la malhonnêteté de Mr Ferdinand Nguendet. Si le premier ministre Mahamat Kamoun venait à cette mascarade de convocation, il n'avait qu'à demander la restitution de cet argent.
Le rapport Mabingui a bien précisé que le CNT était aussi destinateur, profiteur de ce détournement éhonté.
Le CPR s'étonne de l'engouement, de la focalisation des centrafricains sur des faits essentiellement révélés par la presse internationale. Pour quelles raisons les centrafricains de premiers plans, hommes politiques, hommes de média et du judiciaire se taisent et ne demandent surtout pas les documents comptables.
Par ailleurs et plus grave au niveau mentalité, quand Bangui(LNC) pourtant lucide affirme que " Enfin, irréalisme et mise de la charrue avant les bœufs, comment bâtir un chronogramme électoral, sans aucune idée des moyens susceptibles de le financer ? Car sur ce point, Madame Legal a cultivé un flou artistique". Le CPR met le doigt sur ce mal profond centrafricain. Car Mme Hélène Legal veut un projet, une évaluation des besoins centrafricains par des centrafricains. Ce dont les centrafricains sont incapables de faire, ils veulent l'argent sans projet pour pouvoir détourné tranquillement comme d'habitude. Roland Marchal a déjà abordé dans ce sens et rien ne bouge. Alors le CPR considère que ce sont les centrafricains qui mettent la charrue avant les bœufs. Pour en rire, cette expression moyenâgeuse n'est même pas du ressort des centrafricains: il n'y a pas encore de culture attelée en République Centrafricaine.
Le monde est déjà passé aux tracteurs, sommes-nous si arriérés?
Et Babacar Gaye, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies avec ses communiqués malsains, qu'en dit-il aujourd'hui avec ce qui se passe.
Le CPR prend acte de ce changement imminent et reste mobilisé:
" Centrafrique : Les Anti-Balaka déclarent l'assaut de Bangui sous 24 heures
Eve Malonga
BANGUI (LNC) — L'information a circulé toute la journée dans Bangui, et depuis reprise sur les réseaux sociaux.
Les groupes rebelles Anti-Balaka, sous la poussée de leur coordonnateur Sébastien Wénézoui (qui pourtant une semaine plus tôt plaidait pour la paix), après leur ultimatum à la présidente de transition de démissionner sous 48 heures, veulent dorénavant passer à l'action militaire.
Signe majeur, Madame Samba-Panza n'avait pu prononcer un discours en arabe à la mosquée de Bangui lors de la fête musulmane de la Tabaski.
Depuis, les Anti-Balaka déclarent être en train de procéder à la prise de contrôle de la capitale, afin de contraindre la présidente à la démission "Qu'elle soit d'accord ou pas".
Pour Sébastien Wénézoui, "Les prochaines 24 heures vont être déterminantes pour la suite des événements, vous allez voir ce que vous allez voir.
© Octobre 2014 LNC
— avec Eve Malonga. "
Vincent Désiré Komesse, vice-présent du CPR, le 08/10/2014
Le rapport Mabingui a bien précisé que le CNT était aussi destinateur, profiteur de ce détournement éhonté.
Le CPR s'étonne de l'engouement, de la focalisation des centrafricains sur des faits essentiellement révélés par la presse internationale. Pour quelles raisons les centrafricains de premiers plans, hommes politiques, hommes de média et du judiciaire se taisent et ne demandent surtout pas les documents comptables.
Par ailleurs et plus grave au niveau mentalité, quand Bangui(LNC) pourtant lucide affirme que " Enfin, irréalisme et mise de la charrue avant les bœufs, comment bâtir un chronogramme électoral, sans aucune idée des moyens susceptibles de le financer ? Car sur ce point, Madame Legal a cultivé un flou artistique". Le CPR met le doigt sur ce mal profond centrafricain. Car Mme Hélène Legal veut un projet, une évaluation des besoins centrafricains par des centrafricains. Ce dont les centrafricains sont incapables de faire, ils veulent l'argent sans projet pour pouvoir détourné tranquillement comme d'habitude. Roland Marchal a déjà abordé dans ce sens et rien ne bouge. Alors le CPR considère que ce sont les centrafricains qui mettent la charrue avant les bœufs. Pour en rire, cette expression moyenâgeuse n'est même pas du ressort des centrafricains: il n'y a pas encore de culture attelée en République Centrafricaine.
Le monde est déjà passé aux tracteurs, sommes-nous si arriérés?
Et Babacar Gaye, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies avec ses communiqués malsains, qu'en dit-il aujourd'hui avec ce qui se passe.
Le CPR prend acte de ce changement imminent et reste mobilisé:
" Centrafrique : Les Anti-Balaka déclarent l'assaut de Bangui sous 24 heures
Eve Malonga
BANGUI (LNC) — L'information a circulé toute la journée dans Bangui, et depuis reprise sur les réseaux sociaux.
Les groupes rebelles Anti-Balaka, sous la poussée de leur coordonnateur Sébastien Wénézoui (qui pourtant une semaine plus tôt plaidait pour la paix), après leur ultimatum à la présidente de transition de démissionner sous 48 heures, veulent dorénavant passer à l'action militaire.
Signe majeur, Madame Samba-Panza n'avait pu prononcer un discours en arabe à la mosquée de Bangui lors de la fête musulmane de la Tabaski.
Depuis, les Anti-Balaka déclarent être en train de procéder à la prise de contrôle de la capitale, afin de contraindre la présidente à la démission "Qu'elle soit d'accord ou pas".
Pour Sébastien Wénézoui, "Les prochaines 24 heures vont être déterminantes pour la suite des événements, vous allez voir ce que vous allez voir.
© Octobre 2014 LNC
— avec Eve Malonga. "
Vincent Désiré Komesse, vice-présent du CPR, le 08/10/2014
