Le projet de la nouvelle Constitution présenté par le Président vise à apporter des solutions aux crises passées, à favoriser le développement socioéconomique, à sortir le pays de la dépendance, de la misère et de la pauvreté. Cette nouvelle Constitution reflète les valeurs et les attentes du peuple centrafricain tout en s'adaptant à l'évolution du monde. Le Président a exhorté la population à se tourner vers l'avenir et à transcender les débats stériles axés sur les élections futures.
Le Président a souligné que la Constitution reste une œuvre humaine perfectible, mais qu'aucun modèle constitutionnel ne peut être imposé au peuple souverain. Il a rappelé que chaque génération a le droit de revoir, de réformer ou de changer sa Constitution. Ainsi, le peuple centrafricain est appelé à se prononcer sur les principales réformes proposées par ce projet de Constitution.
Parmi les réformes proposées, on peut noter la mise en place d'une gouvernance vertueuse, la consécration de l'indépendance et de la souveraineté du pays, la consolidation du pluralisme politique, le renforcement des droits humains et des libertés fondamentales, l'effectivité du processus de décentralisation, l'institution d'un vice-président de la République, la création d'une chambre de la chefferie traditionnelle, la facilitation de l'accès des jeunes aux fonctions politiques, la parité, et l'instauration d'un régime particulier de force majeure.
Le Président a également abordé la question de la double nationalité, en précisant que la limitation de la présidence aux citoyens possédant uniquement la nationalité centrafricaine vise à préserver l'indépendance du pays et à éviter tout conflit d'intérêt. Il a souligné que les citoyens possédant la double nationalité pourraient renoncer à leur autre nationalité selon les lois en vigueur.
Le Président a également évoqué la question de la Cour Constitutionnelle, proposant sa réforme pour remplacer cette institution par un Conseil Constitutionnel aux missions précises, conformément aux pratiques des autres juridictions constitutionnelles.
Le Président a appelé le peuple centrafricain à participer activement à la campagne référendaire et au scrutin dans le respect des textes en vigueur. Il a souligné que la contribution de tous, à l'intérieur comme à l'étranger, est précieuse pour le succès du référendum constitutionnel.
Le Président Touadéra s'est montré confiant quant à un vote massif en faveur de la nouvelle Constitution, exprimant son espoir de briser les chaînes de la misère et du sous-développement, de promouvoir un développement égalitaire, d'exploiter les richesses du pays, de garantir la paix, la sécurité et la stabilité, et de construire une République centrafricaine émergente et prospère.
Le Président a souligné que la Constitution reste une œuvre humaine perfectible, mais qu'aucun modèle constitutionnel ne peut être imposé au peuple souverain. Il a rappelé que chaque génération a le droit de revoir, de réformer ou de changer sa Constitution. Ainsi, le peuple centrafricain est appelé à se prononcer sur les principales réformes proposées par ce projet de Constitution.
Parmi les réformes proposées, on peut noter la mise en place d'une gouvernance vertueuse, la consécration de l'indépendance et de la souveraineté du pays, la consolidation du pluralisme politique, le renforcement des droits humains et des libertés fondamentales, l'effectivité du processus de décentralisation, l'institution d'un vice-président de la République, la création d'une chambre de la chefferie traditionnelle, la facilitation de l'accès des jeunes aux fonctions politiques, la parité, et l'instauration d'un régime particulier de force majeure.
Le Président a également abordé la question de la double nationalité, en précisant que la limitation de la présidence aux citoyens possédant uniquement la nationalité centrafricaine vise à préserver l'indépendance du pays et à éviter tout conflit d'intérêt. Il a souligné que les citoyens possédant la double nationalité pourraient renoncer à leur autre nationalité selon les lois en vigueur.
Le Président a également évoqué la question de la Cour Constitutionnelle, proposant sa réforme pour remplacer cette institution par un Conseil Constitutionnel aux missions précises, conformément aux pratiques des autres juridictions constitutionnelles.
Le Président a appelé le peuple centrafricain à participer activement à la campagne référendaire et au scrutin dans le respect des textes en vigueur. Il a souligné que la contribution de tous, à l'intérieur comme à l'étranger, est précieuse pour le succès du référendum constitutionnel.
Le Président Touadéra s'est montré confiant quant à un vote massif en faveur de la nouvelle Constitution, exprimant son espoir de briser les chaînes de la misère et du sous-développement, de promouvoir un développement égalitaire, d'exploiter les richesses du pays, de garantir la paix, la sécurité et la stabilité, et de construire une République centrafricaine émergente et prospère.