Panafricaniste convaincu , le président Denis Sassou N’Guesso s’est appuyé, dans son intervention, sur l’agenda 2063 de l’Union Africaine qui considère l’Afrique comme « un espace d’avenir, avec une population jeune et des ressources naturelles abondantes ». Il a, par la suite, présenté la Zone économique de libre-échange continentale africaine, comme la volonté des dirigeants africains de « faire de l’Afrique une terre partagée ». Cette zone est donc un atout pour les investisseurs étrangers, notamment russes qui auront ainsi choisi l’Afrique comme un marché unique avec plus d’un milliard de consommateurs.
Le chef de l’Etat congolais, a également saisi l’occasion pour rassurer les partenaires que la paix et la stabilité sur l’ensemble du continent demeurent un crédo essentiel, avant d’exprimer son souhait « de voir la mise en œuvre sur le sol africain, des projets phares et emblématiques à l’effet de marquer la volonté conjointe de la Russie et de l’Afrique de cheminer à l’unisson vers un meilleur essor ». Ainsi, pour son pays, il a réitéré « l’intention de construire, avec le concours de la Russie, un oléoduc d’environ 1000 km pour l’approvisionnement des produits pétroliers et gaziers de la République du Congo et des pays voisins ».
Denis Sassou N’Guesso a, en outre, présenté son pays, en assurant que le climat des affaires y est garanti. Son amélioration est « l’une des priorités majeures de son gouvernement avec des avantages fiscalo-douaniers attractifs et quatre zones économiques spéciales pour la diversification de l’économie nationale », a précisé le chef de l’Etat congolais. L’attractivité du Congo, c’est aussi son sous-sol que le président congolais a présenté comme riche, regorgeant des polymétaux, du phosphate, de la potasse, du gaz et du pétrole.
Le Congo, a poursuivi Denis Sassou N’Guesso dispose d’un réseau hydrographique avec des potentialités hydroélectriques à vocation continentale. Le bassin du Congo, a-t-il renchéri, est « un maillon essentiel en matière de protection de l’environnement et des écosystèmes forestiers ». C’est ainsi qu’il a appelé « à un soutien en faveur du fonds bleu pour le bassin du Congo » qui est, selon lui, un « outil au service de l’humanité, en termes de régulation climatique ».
Le chef de l’Etat congolais a remercié la Russie pour son appui aux mouvement de libération du continent. Les peuples africains, a-t-il affirmé, « ne remercieront jamais assez le peuple russe pour son appui déterminant au mouvement de libération du continent et à sa décolonisation complète ».
Pour Denis Sassou N’Guesso, le premier sommet Russie-Afrique est une nouvelle page de la coopération qui s’ouvre. Une forte espérance s’empare des citoyens africains qui, a-t-il déclaré, « accueillent ce nouvel élan de coopération avec optimisme et ferveur ».
Le chef de l’Etat congolais, a également saisi l’occasion pour rassurer les partenaires que la paix et la stabilité sur l’ensemble du continent demeurent un crédo essentiel, avant d’exprimer son souhait « de voir la mise en œuvre sur le sol africain, des projets phares et emblématiques à l’effet de marquer la volonté conjointe de la Russie et de l’Afrique de cheminer à l’unisson vers un meilleur essor ». Ainsi, pour son pays, il a réitéré « l’intention de construire, avec le concours de la Russie, un oléoduc d’environ 1000 km pour l’approvisionnement des produits pétroliers et gaziers de la République du Congo et des pays voisins ».
Denis Sassou N’Guesso a, en outre, présenté son pays, en assurant que le climat des affaires y est garanti. Son amélioration est « l’une des priorités majeures de son gouvernement avec des avantages fiscalo-douaniers attractifs et quatre zones économiques spéciales pour la diversification de l’économie nationale », a précisé le chef de l’Etat congolais. L’attractivité du Congo, c’est aussi son sous-sol que le président congolais a présenté comme riche, regorgeant des polymétaux, du phosphate, de la potasse, du gaz et du pétrole.
Le Congo, a poursuivi Denis Sassou N’Guesso dispose d’un réseau hydrographique avec des potentialités hydroélectriques à vocation continentale. Le bassin du Congo, a-t-il renchéri, est « un maillon essentiel en matière de protection de l’environnement et des écosystèmes forestiers ». C’est ainsi qu’il a appelé « à un soutien en faveur du fonds bleu pour le bassin du Congo » qui est, selon lui, un « outil au service de l’humanité, en termes de régulation climatique ».
Le chef de l’Etat congolais a remercié la Russie pour son appui aux mouvement de libération du continent. Les peuples africains, a-t-il affirmé, « ne remercieront jamais assez le peuple russe pour son appui déterminant au mouvement de libération du continent et à sa décolonisation complète ».
Pour Denis Sassou N’Guesso, le premier sommet Russie-Afrique est une nouvelle page de la coopération qui s’ouvre. Une forte espérance s’empare des citoyens africains qui, a-t-il déclaré, « accueillent ce nouvel élan de coopération avec optimisme et ferveur ».