
Il explique avoir été informé de la saisie des médicaments de son client, pourtant prescrits médicalement, par des agents chargés d’une fouille dans l’établissement pénitentiaire. Il affirme avoir immédiatement contacté le régisseur de la maison d’arrêt. Ce dernier lui aurait indiqué qu’une mission conjointe du ministère de la Justice et du ministère de la Sécurité avait effectué une descente inopinée à la prison, durant laquelle une fouille approfondie, de près de quatre heures, a été menée. C’est à cette occasion que les effets personnels du Général Miskine ont été confisqués, notamment :
– ses médicaments essentiels ;
– une somme de 369 000 FCFA destinée à ses frais médicaux ;
– ses brosses à dents, dentifrices et un power bank.
Selon Maître Mamgodibaye, son client suit un traitement rigoureux et doit prendre ses médicaments toutes les six heures pour soigner une hypertension artérielle, une maladie rénale et des problèmes ophtalmiques. Il souligne que tous les documents médicaux justificatifs étaient disponibles, mais n’ont pas empêché la confiscation.
« Pour quelqu’un qui dépend de médicaments, lui retirer son traitement revient à le condamner. C’est un acte assimilable à un assassinat », a-t-il dénoncé.
L’avocat précise que l’état de santé de son client s’est rapidement détérioré après cet incident. Il a alors entrepris des démarches auprès des autorités concernées. Ces dernières lui ont assuré que les produits confisqués sont bien conservés, mais que, face au grand nombre de saisies effectuées, il leur est difficile d’identifier précisément ceux appartenant au Général Miskine. Elles se sont engagées à restituer ses médicaments ainsi que l’argent saisi, dans les meilleurs délais.
La somme confisquée, rappelle l’avocat, était destinée à couvrir les frais médicaux et les ordonnances dans le cadre d’un rendez-vous médical fixé au lundi 19 mai prochain.
– ses médicaments essentiels ;
– une somme de 369 000 FCFA destinée à ses frais médicaux ;
– ses brosses à dents, dentifrices et un power bank.
Selon Maître Mamgodibaye, son client suit un traitement rigoureux et doit prendre ses médicaments toutes les six heures pour soigner une hypertension artérielle, une maladie rénale et des problèmes ophtalmiques. Il souligne que tous les documents médicaux justificatifs étaient disponibles, mais n’ont pas empêché la confiscation.
« Pour quelqu’un qui dépend de médicaments, lui retirer son traitement revient à le condamner. C’est un acte assimilable à un assassinat », a-t-il dénoncé.
L’avocat précise que l’état de santé de son client s’est rapidement détérioré après cet incident. Il a alors entrepris des démarches auprès des autorités concernées. Ces dernières lui ont assuré que les produits confisqués sont bien conservés, mais que, face au grand nombre de saisies effectuées, il leur est difficile d’identifier précisément ceux appartenant au Général Miskine. Elles se sont engagées à restituer ses médicaments ainsi que l’argent saisi, dans les meilleurs délais.
La somme confisquée, rappelle l’avocat, était destinée à couvrir les frais médicaux et les ordonnances dans le cadre d’un rendez-vous médical fixé au lundi 19 mai prochain.