
Selon M. Abakar, tout a commencé en septembre 2010 lorsqu'il a été chargé par le gouvernement de concevoir et installer un grand événement appelé GRAND VILLAGE ou Darna. Il a investi 120 millions de francs CFA dans les installations, notamment les quatre cents stands et les milliers de chaises et de tables, dans l'espoir de réaliser des recettes de 720 millions de francs CFA. Cependant, après la réalisation de l'événement, il a affirmé avoir été offert un chèque pour céder le projet et menacé d'envoyer la gendarmerie pour tout détruire en cas de refus.
M. Abakar a alors saisi la justice pour contester cette situation et a finalement obtenu gain de cause. Treize ans plus tard, il réclame maintenant un dédommagement de trente milliards de francs CFA pour réparation.
Selon lui, l'événement en question a été rebaptisé "Dary" par les autorités, une décision qui a suscité des interrogations de la part de M. Abakar, qui se considère comme le créateur de la version originale de l'événement. Il souligne que cette modification du nom de l'événement a contribué à sa mise de côté et à son oubli dans les crédits.
M. Abakar a alors saisi la justice pour contester cette situation et a finalement obtenu gain de cause. Treize ans plus tard, il réclame maintenant un dédommagement de trente milliards de francs CFA pour réparation.
Selon lui, l'événement en question a été rebaptisé "Dary" par les autorités, une décision qui a suscité des interrogations de la part de M. Abakar, qui se considère comme le créateur de la version originale de l'événement. Il souligne que cette modification du nom de l'événement a contribué à sa mise de côté et à son oubli dans les crédits.