Au cours des échanges animés, Mahamat Hassane Moustapha, coordinateur de H5 Academy, a mis en lumière l’impératif d’adopter un comportement exemplaire au sein de la société. Il a cité des exemples concrets tels que la propreté de l’environnement, le respect du code de la route ou encore l’entretien des caniveaux, soulignant que chaque action, même minime, contribue à l’amélioration du cadre de vie.
M. Moustapha a insisté sur le fait que le thème « Faisons notre part » n’a pas été choisi au hasard. Selon lui, il est crucial que chaque Tchadien et chaque Tchadienne mette ses compétences et son savoir-faire au service de la communauté. Il a déploré la tendance de certains à rejeter systématiquement la responsabilité sur le gouvernement sans s’interroger sur leur propre contribution. « Chaque personne devrait œuvrer pour un Tchad où il fait bon vivre », a-t-il affirmé, appelant à une implication citoyenne proactive.
La question du chômage des jeunes a également été abordée. Mahamat Kabaro, secrétaire et coordinateur de la Maison des Jeunes de Ndjari, a axé son intervention sur la sensibilisation des jeunes aux comportements citoyens. Il a souligné l’importance de combiner protection de l’environnement et acquisition de compétences professionnelles, évoquant notamment les formations proposées par l’association Koullinassawa.
De son côté, Aziber Maloua, un autre conférencier, a lancé un appel vibrant aux jeunes, les encourageant à initier des activités génératrices de revenus pour prendre en main leur destin. Il a particulièrement insisté sur le rôle de l’entrepreneuriat comme levier d’auto-emploi.
Enfin, Maître Weldang Sandrina, huissier de justice, a rappelé au public la nécessité d’adopter un comportement responsable afin de respecter les lois de la République, soulignant ainsi l’aspect juridique de la citoyenneté.
Ce moment d’échange a permis au public d’exprimer ses préoccupations et de réfléchir à des pistes concrètes pour renforcer leurs compétences. L’objectif final reste d’apporter des solutions durables aux nombreux défis auxquels est confronté le Pays de Toumaï.
M. Moustapha a insisté sur le fait que le thème « Faisons notre part » n’a pas été choisi au hasard. Selon lui, il est crucial que chaque Tchadien et chaque Tchadienne mette ses compétences et son savoir-faire au service de la communauté. Il a déploré la tendance de certains à rejeter systématiquement la responsabilité sur le gouvernement sans s’interroger sur leur propre contribution. « Chaque personne devrait œuvrer pour un Tchad où il fait bon vivre », a-t-il affirmé, appelant à une implication citoyenne proactive.
La question du chômage des jeunes a également été abordée. Mahamat Kabaro, secrétaire et coordinateur de la Maison des Jeunes de Ndjari, a axé son intervention sur la sensibilisation des jeunes aux comportements citoyens. Il a souligné l’importance de combiner protection de l’environnement et acquisition de compétences professionnelles, évoquant notamment les formations proposées par l’association Koullinassawa.
De son côté, Aziber Maloua, un autre conférencier, a lancé un appel vibrant aux jeunes, les encourageant à initier des activités génératrices de revenus pour prendre en main leur destin. Il a particulièrement insisté sur le rôle de l’entrepreneuriat comme levier d’auto-emploi.
Enfin, Maître Weldang Sandrina, huissier de justice, a rappelé au public la nécessité d’adopter un comportement responsable afin de respecter les lois de la République, soulignant ainsi l’aspect juridique de la citoyenneté.
Ce moment d’échange a permis au public d’exprimer ses préoccupations et de réfléchir à des pistes concrètes pour renforcer leurs compétences. L’objectif final reste d’apporter des solutions durables aux nombreux défis auxquels est confronté le Pays de Toumaï.