Accueil
Envoyer à un ami
Imprimer
Grand
Petit
Partager
TCHAD

Tchad : Les étudiants de l'université mécontents, vendalisent les rues de N'Djamena


Alwihda Info | Par Alfa @ - 19 Janvier 2010



Tchad : Les étudiants de l'université mécontents, vendalisent les rues de N'Djamena
TCHAD - Les étudiants de l’Université de N’Djaména se rebellent, c'est ce qu'on peut en déduire après les vadanlisme survenu hier matin très tôt dans certaines rues de la capitale tchadienne.

Les étudiants universitaires ont commis hier matin des actes de vandalisme dans les rues de la capitale pour, disent-ils, réclamer la « réparation de l’année blanche ».

Les jeunes étudiants s'en sont pris aux voitures de l'administration et celles des ONG (Organisation Non Gouvernementale) présentes au Tchad. Le Gouvernement tchadien a "vigoureusement" condamné ces actes.

Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Ahmad Taboye, « l’année blanche n’est pas un préjudice et ne se justifie pas en terme de réparation. Le Gouvernement rend responsable le bureau provisoire de l’Union des étudiants du Tchad (UNET) quant à la poursuite de la violence et du vandalisme. Les étudiants qui seront pris en flagrant délit individuellement ou collectivement répondront de leurs actes »



1.Posté par Djiddah Hassana le 20/01/2010 15:42 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
je vous en prie depuis quand les étudiants se rébellent? ne faites pas ce jeu des journalistes de la presse publique d'ailleurs jamais la RNT n'a usé de ce terme.sachez se rébeller , c'est se revolter or eux revendiquent leur droit. dites- moi que la bourse n'est un droit pour un étudiant. Mr Taboye se trompe, toujours , on répare l'année blanche. c'est régrettable que l'ancien enseignant- chercheur tient de tels propos.c'est dommage aussi que vous méconnaissez cet univers. en treme estudiantin cela s'appelle " casse" pour s'exprimer et se faire entendre. davantage je vous exhorte à rapporter les faits du terrain: je vous informe en 7 ans, l'université de N'djaména a connu 4 années blanches sans parler des celles dites élastiques.

2.Posté par Jean Marc le 22/01/2010 10:19 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je pense que nous étudiants tchadiens devons nous surpasser de la violence. Il faut privilégier la voie pacifique. Tous ses biens que nous détruisons alourdissent le fardeau que portent nos revenues nationales soumises à plusieurs types de détournements à différents échelles. Pour avoir dirigé l'Association des Étudiants en Médecine, plusieurs futurs médecins ont été sacrifiés, envoyés en chômage (une trentaine alors que le Tchad manque cruellement de médecins sont sanctionnés de 2 à 3années académiques blanches, d'autres qui font la médecine militaire sont même radiés de l'armée. Leur tord? par ce qu'ils ont choisi la voie du dialogue, ils ont fait de leur feuille de route la justice, la vérité) Mais ceux la sont restés calmes car convaincus que l'avenir d'un homme c'est Dieu et non un certain Taboye, Djada et leurs clics. Ce que nous pouvons tirer comme leçon:
1. Au Tchad les autorités ne connaissent pas la valeur des étudiants on dirait qu'ils n'ont pas été étudiants;
2. Ahmat Taboye est une gangrène pour nous les étudiants. Il méconnait les règles les plus élémentaires de la vie sociale. C'est un homme sans raison, qui n'est venu que pour remplir ses poches et ramené de 10années en arrière la formation de nous jeunes tchadiens qu'il considère comme ses rivaux. Il ferait mieux de se rapprocher de ses paires africains pour s'orienter ( sénégal, mali, Burkina, cote d'ivoir, niger) car il est entrain de détruire l'avenir des jeunes. Il doit aussi se dire que le destin c'est l'affaire de Dieu. Il ne peut pas compromettre le plan de Dieu pour ses enfants
3. Les enseignants de l'université de Ndjaména ne veulent pas que nous étudiants évoluons dans nos études de peur de prendre leur poste demain. Comme très rares sont ceux qui ont leur doctorat, sinon la plupart ce sont des doctorants. Imaginer une grande faculté de médecine dirigé par un Dr.... Yen a nul part ailleurs. Il faut être professeur pour accéder à ce poste.
Et donc face à ses autorités et enseignants de l'université de N'djamena qui sont prêts à sacrifier l'avenir des jeunes, l'avenir du Tchad pour leur intérêt personnel j'exhorte mes collègues étudiants au calme, à la prudence

3.Posté par Hindou le 01/02/2010 17:20 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
D'apres les commentaires precedents, je pense que il est urgent de revoir la vie des etudiants au Tchad. nous savons tres bien que y a pas de developpement sans etude. et les future de ce beau Pays c'est les etudiants actuelle.
Bien que revendiquer n'est pas seulement par la voie de violence ou de destruction. C'est vrai que nous avons une culture un peu violente dis a nos plus de 40 annees de guere qui a cree la hait entre nous meme. Mais les etudiants doivent etre un exemple de diplomaticie qui aidera dans le futur a regler notre facon habituelle de reagir pour se faire entendre.
Le gouvernement doit pourter une attention particuliere aux etudiants et a l'universite du Tchad. nous avons besoin d'une education tres bonne et tres urgente, non marquer par des annees blaches ou elastiques cas meme. pardon! Nous sommes dans l'urgence du developpement et ne pourrons pas attendre 4 ans pour une licence ou 15 ans pour doctora. en moins encore aller dans un autre pays pour etudier ou une instutut (payante et moins reconnu).
Aimons le Tchad et ces richesses, respectons nous mutuellement et aidons nos institution a etre exemplaire afin que nous soyons aussi des exemple pour les autres.

Nouveau commentaire :
Facebook Twitter

Pour poster un commentaire, vous devez utiliser un Email valide. Les commentaires non conformes à la net-étiquette et ou à la loi seront effacés.
En raison d'un nombre important de commentaires non conformes à la net-étiquette et ou à la loi, les commentaires sont désormais soumis aux modérateurs afin d'être vérifiés.

Pour toute information, contactez-nous au : +(235) 99267667 ; 62883277 ; 66267667 (Bureau N'Djamena)