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Tchad : Saleh Kebzabo tente de convaincre ses militants en province
Le président national du parti de la calebasse Saleh Kebzabo séjourne dans la province du Mayo Kebbi Ouest. Il a eu un échange avec ses militants à pala ce jeudi 7 mai en début d'après-midi sur les évènements de la scène politique nationale après la mort de Deby et sa succession au pouvoir.
Dans sa communication, le président de l'UNDR a situé les raisons qui ont conduit son parti à entrer dans le gouvernement de la transition. Le maître mot, c'est le dialogue.
Selon lui, c'est une occasion exceptionnelle où il faut oublier le passé et remettre le compteur à zéro dans l'optique d'instaurer une paix au Tchad. Il faut se mettre ensemble pour redessiner un nouveau pays, en écrivant une nouvelle page de l'histoire à travers la patience, la tolérance et la fraternisation.
De l'avis de l'UNDR, le retrait du parti de la calebasse de la plateforme de la société civile n'est pas une trahison. La page de Deby est tournée et il est important de revoir les stratégies de la conquête du pouvoir, ajoute Kebzabo qui assure que l'UNDR est un parti responsable. Le temps de la chaise vide est révolu et le parti assume ses engagements pour conduire le pays sur les rails à travers la marche vers l'organisation des élections libres, démocratiques et transparentes au Tchad, puisqu'il faut un sang nouveau, avec des nouveaux citoyens à la tête du pays.
Avec deux membres dans l'actuel gouvernement dirigé par le Conseil militaire de transition, l'UNDR négocie avec les autres acteurs de la scène politique la tenue d'un dialogue national afin d'impulser le Tchad vers un nouvel horizon pour un développement harmonieux, indique Saleh Kebzabo. Depuis le 20 avril 2001, soit 20 ans passés, l'UNDR est resté le principal opposant au régime en place, a martelé le président de l'UNDR.
Dans sa communication, le président de l'UNDR a situé les raisons qui ont conduit son parti à entrer dans le gouvernement de la transition. Le maître mot, c'est le dialogue.
Selon lui, c'est une occasion exceptionnelle où il faut oublier le passé et remettre le compteur à zéro dans l'optique d'instaurer une paix au Tchad. Il faut se mettre ensemble pour redessiner un nouveau pays, en écrivant une nouvelle page de l'histoire à travers la patience, la tolérance et la fraternisation.
De l'avis de l'UNDR, le retrait du parti de la calebasse de la plateforme de la société civile n'est pas une trahison. La page de Deby est tournée et il est important de revoir les stratégies de la conquête du pouvoir, ajoute Kebzabo qui assure que l'UNDR est un parti responsable. Le temps de la chaise vide est révolu et le parti assume ses engagements pour conduire le pays sur les rails à travers la marche vers l'organisation des élections libres, démocratiques et transparentes au Tchad, puisqu'il faut un sang nouveau, avec des nouveaux citoyens à la tête du pays.
Avec deux membres dans l'actuel gouvernement dirigé par le Conseil militaire de transition, l'UNDR négocie avec les autres acteurs de la scène politique la tenue d'un dialogue national afin d'impulser le Tchad vers un nouvel horizon pour un développement harmonieux, indique Saleh Kebzabo. Depuis le 20 avril 2001, soit 20 ans passés, l'UNDR est resté le principal opposant au régime en place, a martelé le président de l'UNDR.
