Le Global Attractiveness Index (GAI) 2025, élaboré par le groupe TEHA et audité par le Centre commun de recherche de la Commission européenne, dresse un panorama de l’attractivité de 146 économies mondiales selon quatre grands axes : ouverture, innovation, efficacité et dotations (ressources), complétés par des indicateurs de dynamisme, de durabilité et d’orientation future.
Dans l’édition 2025 du classement, le Tchad se positionne à la 121ᵉ place mondiale, avec un score global de 19,5 points. Le pays progresse toutefois légèrement par rapport à 2024, où il occupait la 114ᵉ place avec un score de 18,5 points, marquant une très modeste évolution positive.
Le rapport attribue au Tchad des résultats très contrastés selon les composantes étudiées : Dynamisme : rang 13, un score relativement élevé qui traduit un certain potentiel de transformation et de marge de croissance, notamment dans les secteurs émergents.
Durabilité : rang 134, un niveau critique, reflétant les faiblesses structurelles liées au développement humain, à la résilience économique, aux inégalités et à la vulnérabilité sociale
Orientation future : rang 145, quasi en bas de l’échelle mondiale, ce qui met en évidence de fortes limites en matière de préparation à long terme, d’investissement dans le capital humain, d’innovation et de diversification économique
Un environnement mondial difficile
Le contexte international analysé dans le rapport est marqué par une instabilité géopolitique croissante, des tensions commerciales, des crises énergétiques et un recul des échanges mondiaux. Selon les auteurs, ces facteurs pénalisent particulièrement les économies déjà fragiles, comme celles du Sahel, dont fait partie le Tchad, en accentuant les défis liés à la logistique, à la sécurité et à l’attractivité des investissements
L’objectif du classement
Le Global Attractiveness Index vise à fournir un outil d’aide à la décision pour les gouvernements, investisseurs et institutions, en mesurant de manière quantitative la capacité des pays à attirer les investissements, les talents et les projets futurs. Il analyse plus de 80 indicateurs couvrant, entre autres, le développement humain, la stabilité macroéconomique, l’environnement des affaires, la transition énergétique ou l’éducation.
Quels défis pour le Tchad ?
Du point de vue du rapport, le classement du Tchad met en évidence plusieurs défis majeurs : Renforcement du capital humain (éducation, santé, formation) ; Amélioration de la gouvernance économique et sociale ; Investissements dans les infrastructures ; Diversification de l’économie, encore très dépendante de secteurs peu transformateurs ; Stabilisation sécuritaire et politique, conditions essentielles à l’attractivité des investissements.
Une attractivité à construire
Si le Tchad affiche un certain potentiel de dynamisme, ses performances faibles en matière de durabilité et de projection à long terme montrent que le chemin reste long pour devenir une destination attractive pour les capitaux internationaux. Le rapport souligne implicitement la nécessité d’engager des réformes structurelles profondes afin de convertir ce potentiel en développement durable et inclusif.
Dans l’édition 2025 du classement, le Tchad se positionne à la 121ᵉ place mondiale, avec un score global de 19,5 points. Le pays progresse toutefois légèrement par rapport à 2024, où il occupait la 114ᵉ place avec un score de 18,5 points, marquant une très modeste évolution positive.
Le rapport attribue au Tchad des résultats très contrastés selon les composantes étudiées : Dynamisme : rang 13, un score relativement élevé qui traduit un certain potentiel de transformation et de marge de croissance, notamment dans les secteurs émergents.
Durabilité : rang 134, un niveau critique, reflétant les faiblesses structurelles liées au développement humain, à la résilience économique, aux inégalités et à la vulnérabilité sociale
Orientation future : rang 145, quasi en bas de l’échelle mondiale, ce qui met en évidence de fortes limites en matière de préparation à long terme, d’investissement dans le capital humain, d’innovation et de diversification économique
Un environnement mondial difficile
Le contexte international analysé dans le rapport est marqué par une instabilité géopolitique croissante, des tensions commerciales, des crises énergétiques et un recul des échanges mondiaux. Selon les auteurs, ces facteurs pénalisent particulièrement les économies déjà fragiles, comme celles du Sahel, dont fait partie le Tchad, en accentuant les défis liés à la logistique, à la sécurité et à l’attractivité des investissements
L’objectif du classement
Le Global Attractiveness Index vise à fournir un outil d’aide à la décision pour les gouvernements, investisseurs et institutions, en mesurant de manière quantitative la capacité des pays à attirer les investissements, les talents et les projets futurs. Il analyse plus de 80 indicateurs couvrant, entre autres, le développement humain, la stabilité macroéconomique, l’environnement des affaires, la transition énergétique ou l’éducation.
Quels défis pour le Tchad ?
Du point de vue du rapport, le classement du Tchad met en évidence plusieurs défis majeurs : Renforcement du capital humain (éducation, santé, formation) ; Amélioration de la gouvernance économique et sociale ; Investissements dans les infrastructures ; Diversification de l’économie, encore très dépendante de secteurs peu transformateurs ; Stabilisation sécuritaire et politique, conditions essentielles à l’attractivité des investissements.
Une attractivité à construire
Si le Tchad affiche un certain potentiel de dynamisme, ses performances faibles en matière de durabilité et de projection à long terme montrent que le chemin reste long pour devenir une destination attractive pour les capitaux internationaux. Le rapport souligne implicitement la nécessité d’engager des réformes structurelles profondes afin de convertir ce potentiel en développement durable et inclusif.
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Tchad : attractivité économique, le pays progresse timidement (Global Attractiveness Index 2025)








