Le mouvement citoyen Wakitama, section politique a déposé, ce mercredi 16 juillet 2025, une requête en annulation de l’arrêté suspendant ses activités, auprès de la Cour suprême.
Cette démarche intervient à la suite de la décision du ministère de l’Administration du territoire de suspendre les effets de l’arrêté ayant autorisé le mouvement à opérer légalement. Lors d’un point de presse, Me Florent Ngartoïzo, avocat à la cour et conseil du mouvement, a dénoncé une décision dénuée de fondement juridique.
Selon lui, les deux arrêtés émis par le ministère sont irréguliers, dans la mesure où Wakitama n’est pas un parti politique, et ne saurait donc être soumis aux dispositions réglementaires encadrant les partis politiques. Me Ngartoïzo a souligné qu’en vertu de la procédure légale, toute suspension d’une association doit faire l’objet d’une notification formelle, préalable à tout recours.
Or, dans ce cas précis, Wakitama aurait appris sa suspension par voie de presse et sur les réseaux sociaux, sans notification officielle. Malgré cela, le mouvement a entamé une procédure contentieuse pour faire valoir ses droits. La loi accorde un délai d’un mois à la Cour suprême pour statuer sur ce type de recours.
L’avocat a par ailleurs relevé une contradiction dans la démarche du ministère, rappelant que ces mouvements citoyens avaient été officiellement reconnus par le même département, qui avait même organisé des réunions avec eux via le ministère de la Sécurité, afin de définir leur cadre d’intervention.
Pour Me Ngartoïzo, la suspension de Wakitama, dont l’objet est la promotion de l’État de droit et la défense des libertés fondamentales, constitue une tentative manifeste d’asphyxie d’un mouvement citoyen.
Cette démarche intervient à la suite de la décision du ministère de l’Administration du territoire de suspendre les effets de l’arrêté ayant autorisé le mouvement à opérer légalement. Lors d’un point de presse, Me Florent Ngartoïzo, avocat à la cour et conseil du mouvement, a dénoncé une décision dénuée de fondement juridique.
Selon lui, les deux arrêtés émis par le ministère sont irréguliers, dans la mesure où Wakitama n’est pas un parti politique, et ne saurait donc être soumis aux dispositions réglementaires encadrant les partis politiques. Me Ngartoïzo a souligné qu’en vertu de la procédure légale, toute suspension d’une association doit faire l’objet d’une notification formelle, préalable à tout recours.
Or, dans ce cas précis, Wakitama aurait appris sa suspension par voie de presse et sur les réseaux sociaux, sans notification officielle. Malgré cela, le mouvement a entamé une procédure contentieuse pour faire valoir ses droits. La loi accorde un délai d’un mois à la Cour suprême pour statuer sur ce type de recours.
L’avocat a par ailleurs relevé une contradiction dans la démarche du ministère, rappelant que ces mouvements citoyens avaient été officiellement reconnus par le même département, qui avait même organisé des réunions avec eux via le ministère de la Sécurité, afin de définir leur cadre d’intervention.
Pour Me Ngartoïzo, la suspension de Wakitama, dont l’objet est la promotion de l’État de droit et la défense des libertés fondamentales, constitue une tentative manifeste d’asphyxie d’un mouvement citoyen.