
René Capain Bassène a été arrêté en janvier 2018 à Ziguinchor, accusé de complicité dans l’affaire du massacre de Boffa Bayotte, où 14 bûcherons ont été tués. Condamné à la prison à perpétuité, il reste incarcéré malgré la libération de ses 25 coaccusés. Le CPJ, après une enquête approfondie, estime que Bassène n’a pu être impliqué dans ces crimes, soulignant de graves incohérences dans les éléments à charge et l’absence d’un procès équitable.
Dans leur lettre conjointe, les signataires dénoncent des violations flagrantes des droits fondamentaux : tortures, mauvais traitements en détention, privation de sommeil, et refus de recours à des experts indépendants lors du procès. Ils rappellent également l’engagement de Bassène pour la paix en Casamance à travers ses écrits, son travail à l’ANRAC, et ses efforts de médiation.
Le journaliste, hospitalisé en mai 2025 à Dakar, a subi une opération du tympan droit, conséquence directe de violences subies lors de son arrestation. Malgré cette situation alarmante, la Cour suprême du Sénégal a rejeté son dernier appel le 2 mai 2025.
« J’ai écrit pour que l’histoire de ce conflit ne se perde pas », a déclaré Bassène depuis son lit d’hôpital, remerciant les soutiens qui croient en son innocence.
Parmi les signataires figurent des journalistes de renom, des chercheurs universitaires, des défenseurs des droits humains, ainsi que plusieurs associations sénégalaises et internationales. Tous appellent le président Faye à user de ses prérogatives pour mettre un terme à cette détention jugée injuste, et permettre à René Capain Bassène de retrouver sa liberté, sa famille et son travail.
Dans leur lettre conjointe, les signataires dénoncent des violations flagrantes des droits fondamentaux : tortures, mauvais traitements en détention, privation de sommeil, et refus de recours à des experts indépendants lors du procès. Ils rappellent également l’engagement de Bassène pour la paix en Casamance à travers ses écrits, son travail à l’ANRAC, et ses efforts de médiation.
Le journaliste, hospitalisé en mai 2025 à Dakar, a subi une opération du tympan droit, conséquence directe de violences subies lors de son arrestation. Malgré cette situation alarmante, la Cour suprême du Sénégal a rejeté son dernier appel le 2 mai 2025.
« J’ai écrit pour que l’histoire de ce conflit ne se perde pas », a déclaré Bassène depuis son lit d’hôpital, remerciant les soutiens qui croient en son innocence.
Parmi les signataires figurent des journalistes de renom, des chercheurs universitaires, des défenseurs des droits humains, ainsi que plusieurs associations sénégalaises et internationales. Tous appellent le président Faye à user de ses prérogatives pour mettre un terme à cette détention jugée injuste, et permettre à René Capain Bassène de retrouver sa liberté, sa famille et son travail.