
Vue du ciel du nouveau siège de l'ONAMA. © Al Manna Groupe
Le syndicat indépendant du personnel de la radiodiffusion et de la télévision du Tchad (SIPRAT) a accueilli avec grande satisfaction l'adoption du projet de loi portant création de l'office national des médias audiovisuels (ONAMA), selon un communiqué de son président, Abdelsadik Ali Ahmat.
Le syndicat salue la décision de l'engagement de la représentation nationale visant à concrétiser la vision du chef de l'Etat, de créer un nouvel office qui se veut une structure plus efficace, capable de remplir valablement la mission de service catalyseur des actions de développement.
Le bureau exécutif du syndicat se dit disposé à accompagner la politique de la mise en oeuvre de cette structure qui concourt à l'amélioration des conditions de vie et de travail des agents afin de répondre aux exigences des auditeurs et des téléspectateurs.
L'ONAMA remplace l'ONRTV
L'Assemblée nationale a adopté le 23 décembre 2018 le projet de loi portant création de l'ONAMA. Cette nouvelle structure remplace l'Office National de Radiodiffusion du tchad (ONRTV).
Les députés ont estimé que les deux médias publics -Télé Tchad et Radio Tchad- ne répondent pas aux attentes du grand public. Parmi les maux qui minent ces deux services, ont été relevés le manque de professionnalisme, le non-respect de l'éthique et de la déontologie du métier de journaliste et la démotivation des anciens journalistes.
"L'ONRTV n'avait pas eu une bonne réputation"
De l'avis des députés, la crise que traverse ces deux médias réside dans la gestion de ses ressources financières et de la bonne gouvernance. "Ce ne sont pas les sigles, les titres, les logos qui feront d'une télévision une bonne télévision. En réalité c'est la pratique, les moyens de travail alloués aux acteurs, c'est la bonne gouvernance dans la gestion de la structure", a relevé un député à l'hémicycle.
"Vous savez très bien que l'ONRTV n'avait pas eu une bonne réputation. On a changé par une direction qui ne tenait pas du tout faute de moyens. Il a maintenant fallu réfléchir à une nouvelle structure qui prenne en compte toutes les attentes de la population et surtout la booster par un moyen qui lui permettra d'être à la hauteur de ses ambitions. Il faut changer de mentalité et de pratique", selon le ministre de la communication, Oumar Yaya Hissein.
Le syndicat salue la décision de l'engagement de la représentation nationale visant à concrétiser la vision du chef de l'Etat, de créer un nouvel office qui se veut une structure plus efficace, capable de remplir valablement la mission de service catalyseur des actions de développement.
Le bureau exécutif du syndicat se dit disposé à accompagner la politique de la mise en oeuvre de cette structure qui concourt à l'amélioration des conditions de vie et de travail des agents afin de répondre aux exigences des auditeurs et des téléspectateurs.
L'ONAMA remplace l'ONRTV
L'Assemblée nationale a adopté le 23 décembre 2018 le projet de loi portant création de l'ONAMA. Cette nouvelle structure remplace l'Office National de Radiodiffusion du tchad (ONRTV).
Les députés ont estimé que les deux médias publics -Télé Tchad et Radio Tchad- ne répondent pas aux attentes du grand public. Parmi les maux qui minent ces deux services, ont été relevés le manque de professionnalisme, le non-respect de l'éthique et de la déontologie du métier de journaliste et la démotivation des anciens journalistes.
"L'ONRTV n'avait pas eu une bonne réputation"
De l'avis des députés, la crise que traverse ces deux médias réside dans la gestion de ses ressources financières et de la bonne gouvernance. "Ce ne sont pas les sigles, les titres, les logos qui feront d'une télévision une bonne télévision. En réalité c'est la pratique, les moyens de travail alloués aux acteurs, c'est la bonne gouvernance dans la gestion de la structure", a relevé un député à l'hémicycle.
"Vous savez très bien que l'ONRTV n'avait pas eu une bonne réputation. On a changé par une direction qui ne tenait pas du tout faute de moyens. Il a maintenant fallu réfléchir à une nouvelle structure qui prenne en compte toutes les attentes de la population et surtout la booster par un moyen qui lui permettra d'être à la hauteur de ses ambitions. Il faut changer de mentalité et de pratique", selon le ministre de la communication, Oumar Yaya Hissein.