La situation donne du fil à retordre au citoyen lambda qui n'a pas assez de moyens pour pouvoir prendre en charge sa modeste famille. C'est lamentable de voir les commerçants augmenter les prix des denrées alimentaires sans aucun prétexte et ce, sous le regard de nos gouvernants.
Djingamnayal Nely Virsinis, président du Collectif tchadien contre la vie chère, a réagi par rapport à cette situation intenable. »L'heure est grave, nous tirons le diable par la queue », dit-il. "Le litre d'huile coûte 1500 Fcfa et le coro de maïs coûte 850 Fcfa, où allons-nous ? Avant la transition, l'huile coûtait 600 Fcfa le litre et le maïs 550 à 650 Fcfa mais aujourd'hui, le pauvre n'a pas le droit de manger", se lamente Djingamnayal Nely Virsinis.
Djingamnayal Nely Virsinis, président du Collectif tchadien contre la vie chère, a réagi par rapport à cette situation intenable. »L'heure est grave, nous tirons le diable par la queue », dit-il. "Le litre d'huile coûte 1500 Fcfa et le coro de maïs coûte 850 Fcfa, où allons-nous ? Avant la transition, l'huile coûtait 600 Fcfa le litre et le maïs 550 à 650 Fcfa mais aujourd'hui, le pauvre n'a pas le droit de manger", se lamente Djingamnayal Nely Virsinis.
« Des propositions ont été faites au gouvernement mais nos paroles ne sont prises en compte. Aujourd'hui, le monde est témoin », ajoute-t-il.
"Je crois que le système en place a intérêt à trouver des solutions d'urgence sinon, vu la situation actuelle dans les marchés, le pire n'est pas loin. Voilà l'image du capitalisme, paternalisme que la transition montre au peuple", souligne le président du CTVC.
Dans son discours d’investiture pour la seconde phase de la transition, le président Mahamat Idriss Deby a instruit le gouvernement d’agir pour faire face à la cherté de la vie.
En milieu d’année, les autorités ont décrété l’état d’urgence alimentaire. Au moins cinq millions de personnes sont touchées par la malnutrition, selon les rapports humanitaires.
"Je crois que le système en place a intérêt à trouver des solutions d'urgence sinon, vu la situation actuelle dans les marchés, le pire n'est pas loin. Voilà l'image du capitalisme, paternalisme que la transition montre au peuple", souligne le président du CTVC.
Dans son discours d’investiture pour la seconde phase de la transition, le président Mahamat Idriss Deby a instruit le gouvernement d’agir pour faire face à la cherté de la vie.
En milieu d’année, les autorités ont décrété l’état d’urgence alimentaire. Au moins cinq millions de personnes sont touchées par la malnutrition, selon les rapports humanitaires.