La ville de N'Djamena fait face à une obscurité inhabituelle, paralysant toutes les activités dépendantes de l'électricité.
Malgré les promesses répétées d'une solution définitive à la crise énergétique, les engagements restent lettre morte, laissant la population perplexe, quant à l'utilité des poteaux et des câbles électriques qui sillonnent les quartiers de la capitale.
Cette situation épineuse interroge l'opinion sur les besoins et capacités de la Société Nationale de l'Électricité (SNE), laissant de nombreux citoyens perplexes, en ce qui concerne son fonctionnement. L'énergie électrique est un pilier essentiel du développement social et économique d'un pays, et pourtant les résultats des investissements massifs du gouvernement tchadien, dans les infrastructures énergétiques, laissent à désirer.
Le président de la Transition avait promis un triplement des capacités de production énergétique en 2023, une promesse qui demeure en suspens. Malgré la récente nomination d'un général de division à la tête de la SNE, l'espoir d'une amélioration s'est avéré vain.
Les mesures prises, telle que la suspension de la prise en charge des entités étatiques qualifiées de gros consommateurs d'électricité, n'ont pas encore porté leurs fruits. Les coupures de courant incessantes ont un impact négatif sur les activités économiques de la population de N’Djamena.
Des salons de coiffure aux cybercafés, en passant par les secteurs publics, tous ressentent les contrecoups de cette crise énergétique. Depuis le début de la Transition, la production électrique a considérablement chuté. Il est impératif que les autorités compétentes prennent des mesures pour résoudre cette crise énergétique et établissent un plan de sortie à long terme.
En novembre 2022, le ministre en charge des hydrocarbures, Djerassem Le Bemadjiel, a révélé que « le Tchad est le seul pays au monde à utiliser à 100% du gasoil pour produire de l’électricité. Il est temps que ça s’arrête. C’est comme faire la lessive avec de l’eau minérale. »
Il a également souligné qu'une étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a confirmé qu'au niveau de l'Afrique subsaharienne, une énergie de 40 MW, injectée dans le réseau, produit 0,8% de croissance dans l'économie.
En raison du manque d’électricité, de nombreux citoyens se tournent vers des alternatives telles que l'énergie solaire pour les plus chanceux, d'autres les Power Banks. Bien que la Banque mondiale affiche un taux d'accès à l'électricité d'environ 6,4% pour le Tchad, le ministre de l'Énergie et des Hydrocarbures estime que la réalité est plus proche de 1%.
La SNE compte environ 100 000 abonnés.
Malgré les promesses répétées d'une solution définitive à la crise énergétique, les engagements restent lettre morte, laissant la population perplexe, quant à l'utilité des poteaux et des câbles électriques qui sillonnent les quartiers de la capitale.
Cette situation épineuse interroge l'opinion sur les besoins et capacités de la Société Nationale de l'Électricité (SNE), laissant de nombreux citoyens perplexes, en ce qui concerne son fonctionnement. L'énergie électrique est un pilier essentiel du développement social et économique d'un pays, et pourtant les résultats des investissements massifs du gouvernement tchadien, dans les infrastructures énergétiques, laissent à désirer.
Le président de la Transition avait promis un triplement des capacités de production énergétique en 2023, une promesse qui demeure en suspens. Malgré la récente nomination d'un général de division à la tête de la SNE, l'espoir d'une amélioration s'est avéré vain.
Les mesures prises, telle que la suspension de la prise en charge des entités étatiques qualifiées de gros consommateurs d'électricité, n'ont pas encore porté leurs fruits. Les coupures de courant incessantes ont un impact négatif sur les activités économiques de la population de N’Djamena.
Des salons de coiffure aux cybercafés, en passant par les secteurs publics, tous ressentent les contrecoups de cette crise énergétique. Depuis le début de la Transition, la production électrique a considérablement chuté. Il est impératif que les autorités compétentes prennent des mesures pour résoudre cette crise énergétique et établissent un plan de sortie à long terme.
En novembre 2022, le ministre en charge des hydrocarbures, Djerassem Le Bemadjiel, a révélé que « le Tchad est le seul pays au monde à utiliser à 100% du gasoil pour produire de l’électricité. Il est temps que ça s’arrête. C’est comme faire la lessive avec de l’eau minérale. »
Il a également souligné qu'une étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a confirmé qu'au niveau de l'Afrique subsaharienne, une énergie de 40 MW, injectée dans le réseau, produit 0,8% de croissance dans l'économie.
En raison du manque d’électricité, de nombreux citoyens se tournent vers des alternatives telles que l'énergie solaire pour les plus chanceux, d'autres les Power Banks. Bien que la Banque mondiale affiche un taux d'accès à l'électricité d'environ 6,4% pour le Tchad, le ministre de l'Énergie et des Hydrocarbures estime que la réalité est plus proche de 1%.
La SNE compte environ 100 000 abonnés.