Des officiers des forces de sécurité intérieure (police nationale, gendarmerie nationale, police judiciaire et GNNT) suivent du lundi 04 au mardi 05 décembre 2023 à Pala, une formation sur la question des droits humains et le maintien de l'ordre.
Ce renforcement des capacités est basé autour du thème, « les droits de l'homme et le maintien de l'ordre au Tchad ». Cette école du savoir est rendue possible par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, en partenariat avec le ministère de la Sécurité publique et de l'Immigration, et le ministère de la Justice, chargé des droits humains.
Selon le chef de projet, Achille Tiem, les participants échangent sur les cas des violations des droits humains, notamment le viol, l'arrestation arbitraire, l’enlèvement, l'humiliation et autres cas contribuant à l'arnaque des citoyens. Les participants peuvent comprendre l'importance et les techniques du maintien de l'ordre au Mayo Kebbi-Ouest, et partant, tout le Tchad, dit-il.
Les forces de défense et de sécurité doivent répondre ou prévenir efficacement les cas des violations des droits de l'homme, fait comprendre Achille Tiem.
Le secrétaire général de la province du Mayo Kebbi-Ouest, Valentin Mohassingar souligne dans son allocution que la situation des droits de l'homme au Tchad, et particulièrement au MKO, qu'il s'agisse des libertés publiques, des droits économiques et sociaux, révèle des défis considérables du fait des récurrents conflits intercommunautaires.
Ce renforcement des capacités, initié par le bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies au Tchad, avec le financement de l'Union européenne, s'inscrit dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des forces de sécurité intérieure » (Projet FSI), en vue de promouvoir et de protéger les droits de l'homme au Tchad.
Ce renforcement des capacités est basé autour du thème, « les droits de l'homme et le maintien de l'ordre au Tchad ». Cette école du savoir est rendue possible par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, en partenariat avec le ministère de la Sécurité publique et de l'Immigration, et le ministère de la Justice, chargé des droits humains.
Selon le chef de projet, Achille Tiem, les participants échangent sur les cas des violations des droits humains, notamment le viol, l'arrestation arbitraire, l’enlèvement, l'humiliation et autres cas contribuant à l'arnaque des citoyens. Les participants peuvent comprendre l'importance et les techniques du maintien de l'ordre au Mayo Kebbi-Ouest, et partant, tout le Tchad, dit-il.
Les forces de défense et de sécurité doivent répondre ou prévenir efficacement les cas des violations des droits de l'homme, fait comprendre Achille Tiem.
Le secrétaire général de la province du Mayo Kebbi-Ouest, Valentin Mohassingar souligne dans son allocution que la situation des droits de l'homme au Tchad, et particulièrement au MKO, qu'il s'agisse des libertés publiques, des droits économiques et sociaux, révèle des défis considérables du fait des récurrents conflits intercommunautaires.
Ce renforcement des capacités, initié par le bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies au Tchad, avec le financement de l'Union européenne, s'inscrit dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des forces de sécurité intérieure » (Projet FSI), en vue de promouvoir et de protéger les droits de l'homme au Tchad.