Au niveau local, cette journée est commémorée sous le thème : "ensemble pour mettre fin à la discrimination des enfants déficients intellectuels".
"Ce thème nous interpelle à plus d'un titre car si nous nous mettons réellement ensemble, c'est possible d'amener un enfant qui a vécu un événement grandement traumatisant à vivre une vie saine et active, loin de l'isolement ou de la discrimination", souligne Adoumkidjim Naïban, directeur du CESER.
Janserbé Faly, représentant du ministère de la Santé publique, indique qu'au Tchad beaucoup d'enfants sont victimes de troubles psychologiques ou d'une régression du développement intellectuel.
"Ce thème nous interpelle à plus d'un titre car si nous nous mettons réellement ensemble, c'est possible d'amener un enfant qui a vécu un événement grandement traumatisant à vivre une vie saine et active, loin de l'isolement ou de la discrimination", souligne Adoumkidjim Naïban, directeur du CESER.
Janserbé Faly, représentant du ministère de la Santé publique, indique qu'au Tchad beaucoup d'enfants sont victimes de troubles psychologiques ou d'une régression du développement intellectuel.
Le ministère "se concentre sur les enfants handicapés mentaux et sur le fait que ces enfants ont les mêmes droits que tous les enfants dans le monde mais aussi au Tchad", souligne Janserbé Faly.
Le président de l'Union des associations pour la protection de l'enfance au Tchad (UAPET), M. Djimrabaye, relève que la question de la santé mentale et du bien-être doit interpeller à tous les niveaux. "À l'ère de ce Tchad dit de la refondation, nous devons réfléchir à accorder une attention particulière aux personnes ayant des troubles mentaux pour qu'elles puissent jouir pleinement de leurs droits fondamentaux", affirme M. Djimrabaye.
Au niveau mondial, cette journée a été célébrée pour la première fois en 1992. Chaque 10 octobre, elle est consacrée à l'éducation et à la sensibilisation du public envers la santé mentale, en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l'urgence d'améliorer les politiques de prévention et de traitement.
Le président de l'Union des associations pour la protection de l'enfance au Tchad (UAPET), M. Djimrabaye, relève que la question de la santé mentale et du bien-être doit interpeller à tous les niveaux. "À l'ère de ce Tchad dit de la refondation, nous devons réfléchir à accorder une attention particulière aux personnes ayant des troubles mentaux pour qu'elles puissent jouir pleinement de leurs droits fondamentaux", affirme M. Djimrabaye.
Au niveau mondial, cette journée a été célébrée pour la première fois en 1992. Chaque 10 octobre, elle est consacrée à l'éducation et à la sensibilisation du public envers la santé mentale, en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l'urgence d'améliorer les politiques de prévention et de traitement.