En cette période d'inondations, la circulation routière à N’Djamena devient de plus en plus compliquée, se transformant en un véritable entonnoir. Aux heures de pointe, les embouteillages sont un problème majeur, et une source de préoccupation.
Ceux qui traversent les principaux carrefours et artères de la capitale, constatent l'ampleur de l'indiscipline des conducteurs, notamment le non-respect des règles élémentaires du code de la route, telles que l'interdiction de stationnement ou le respect des priorités. La meilleure solution semble être un changement de mentalité chez les conducteurs, en particulier les chauffeurs de transport en commun et les « clandomans ».
Par exemple, aux ronds-points à double voie, aux abords du marché de Dembé, ou encore sur la rue des 40 mètres, l'indiscipline règne souvent en maître. Les policiers en charge de réguler la circulation sont parfois débordés. Même s'il n'existe pas de statistiques précises sur le nombre de véhicules dans la capitale, il est évident que sur 100 ménages, une quarantaine seulement possèdent des véhicules, motos ou vélos.
Pourtant, cela n'explique pas ces embouteillages monstres. L'indiscipline des conducteurs est le principal coupable. N’Djamena, bien qu'étant une capitale, manque d'infrastructures routières modernes, telles que des routes à quatre voies. Pendant la saison des pluies, la circulation dans les 7ème et 9ème arrondissements est quasiment paralysée, les routes secondaires devenant impraticables.
Le respect des règles de circulation par les usagers améliorerait grandement la situation. Il est également crucial de dégager les vendeurs ambulants des rues, notamment ceux situés près du marché de Dembé, de la grande mosquée et du grand marché. Le comportement des chauffeurs de transport en commun, qui s'arrêtent n'importe où, cause non seulement des pertes de temps, mais aussi des accidents.
Pour de nombreux fonctionnaires, ces embouteillages matinaux ont un impact direct sur leur ponctualité au travail. Aux ronds-points à double voie et autour du marché de Dembé, il faut parfois une heure pour parcourir une courte distance, une situation qui se répète souvent le soir. Ces embouteillages représentent un défi réel pour la ville de N’Djamena.
Il est essentiel de résoudre ce problème pour donner à la capitale l'image d'une ville où la circulation se fait dans le respect du code de la route. Cela passe par un changement de mentalité, et une meilleure discipline des conducteurs.
Ceux qui traversent les principaux carrefours et artères de la capitale, constatent l'ampleur de l'indiscipline des conducteurs, notamment le non-respect des règles élémentaires du code de la route, telles que l'interdiction de stationnement ou le respect des priorités. La meilleure solution semble être un changement de mentalité chez les conducteurs, en particulier les chauffeurs de transport en commun et les « clandomans ».
Par exemple, aux ronds-points à double voie, aux abords du marché de Dembé, ou encore sur la rue des 40 mètres, l'indiscipline règne souvent en maître. Les policiers en charge de réguler la circulation sont parfois débordés. Même s'il n'existe pas de statistiques précises sur le nombre de véhicules dans la capitale, il est évident que sur 100 ménages, une quarantaine seulement possèdent des véhicules, motos ou vélos.
Pourtant, cela n'explique pas ces embouteillages monstres. L'indiscipline des conducteurs est le principal coupable. N’Djamena, bien qu'étant une capitale, manque d'infrastructures routières modernes, telles que des routes à quatre voies. Pendant la saison des pluies, la circulation dans les 7ème et 9ème arrondissements est quasiment paralysée, les routes secondaires devenant impraticables.
Le respect des règles de circulation par les usagers améliorerait grandement la situation. Il est également crucial de dégager les vendeurs ambulants des rues, notamment ceux situés près du marché de Dembé, de la grande mosquée et du grand marché. Le comportement des chauffeurs de transport en commun, qui s'arrêtent n'importe où, cause non seulement des pertes de temps, mais aussi des accidents.
Pour de nombreux fonctionnaires, ces embouteillages matinaux ont un impact direct sur leur ponctualité au travail. Aux ronds-points à double voie et autour du marché de Dembé, il faut parfois une heure pour parcourir une courte distance, une situation qui se répète souvent le soir. Ces embouteillages représentent un défi réel pour la ville de N’Djamena.
Il est essentiel de résoudre ce problème pour donner à la capitale l'image d'une ville où la circulation se fait dans le respect du code de la route. Cela passe par un changement de mentalité, et une meilleure discipline des conducteurs.