
Consulter un médecin avant de prendre un médicament, c'est inhabituel pour la grande jeunesse. En cas de malaise, beaucoup de personnes font recours aux amis ou proches, pour des indications sur un médicament à prendre.
Ce qui pousse les jeunes, femmes et enfants à l'automédication orientée vers les médicaments de la rue. En raison du faible coût, c'est une pratique récurrente dans la capitale, pourtant très dangereuse pour la santé.
La santé n'a pas de prix, dit-on ; l'un des éléments essentiels en est le médicament. Malheureusement, son utilisation sans avis d'un médecin devient un « poison ». Toutes sortes de remèdes sont sur le marché ; les antibiotiques, les antipaludéens, les antifatigues et autres.
« Sauf que la consommation sans consultation d'un médecin, constitue un feu qu'on amasse sur sa santé, même en cas de maux de tête », prévient Hapsita, sage-femme.
D'après Djimrabe Bonheur, diplômé en gestion de pharmacie dans un Institut en Côte d'Ivoire, les symptômes des maladies diffèrent. C'est pourquoi prendre un médicament sans avis d'un médecin peut calmer la douleur, mais contribuer à la destruction du foie et des reins, déplore-t-elle.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'automédication peut concerner aussi la médecine traditionnelle. Car elle est considérée comme un phénomène menaçant de plus en plus la santé de la population.
Dans la capitale tchadienne, venir de son plein gré à l'hôpital, en cas de malaise n'est pas facile. Et cela est dû au coût élevé des consultations dans certaines infrastructures sanitaires. Et aussi, à la mentalité de certaines personnes qui estiment que pour un simple mal de tête, il n'est pas nécessaire de consulter un médecin.
Il est à signaler que les médicaments achetés dans la rue, sans avis d'un médecin sont falsifiés et ne peuvent pas traiter des maladies, mais plutôt entrainer de graves complications, voire le décès, explique Nekar Roseline, stagiaire à l'hôpital de la mère et de l'enfant.
Si l'on a besoin de vivre à tout prix, recourir à un médecin ne coûte rien.
Ce qui pousse les jeunes, femmes et enfants à l'automédication orientée vers les médicaments de la rue. En raison du faible coût, c'est une pratique récurrente dans la capitale, pourtant très dangereuse pour la santé.
La santé n'a pas de prix, dit-on ; l'un des éléments essentiels en est le médicament. Malheureusement, son utilisation sans avis d'un médecin devient un « poison ». Toutes sortes de remèdes sont sur le marché ; les antibiotiques, les antipaludéens, les antifatigues et autres.
« Sauf que la consommation sans consultation d'un médecin, constitue un feu qu'on amasse sur sa santé, même en cas de maux de tête », prévient Hapsita, sage-femme.
D'après Djimrabe Bonheur, diplômé en gestion de pharmacie dans un Institut en Côte d'Ivoire, les symptômes des maladies diffèrent. C'est pourquoi prendre un médicament sans avis d'un médecin peut calmer la douleur, mais contribuer à la destruction du foie et des reins, déplore-t-elle.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'automédication peut concerner aussi la médecine traditionnelle. Car elle est considérée comme un phénomène menaçant de plus en plus la santé de la population.
Dans la capitale tchadienne, venir de son plein gré à l'hôpital, en cas de malaise n'est pas facile. Et cela est dû au coût élevé des consultations dans certaines infrastructures sanitaires. Et aussi, à la mentalité de certaines personnes qui estiment que pour un simple mal de tête, il n'est pas nécessaire de consulter un médecin.
Il est à signaler que les médicaments achetés dans la rue, sans avis d'un médecin sont falsifiés et ne peuvent pas traiter des maladies, mais plutôt entrainer de graves complications, voire le décès, explique Nekar Roseline, stagiaire à l'hôpital de la mère et de l'enfant.
Si l'on a besoin de vivre à tout prix, recourir à un médecin ne coûte rien.