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Tchad : la vigilance souhaitée face aux produits de consommation douteux
De la viande trafiquée par des fraudeurs au Tchad. Alwihda Info/archives
Les membres du Comité multisectoriel de gestion des résultats des analyses du CECOQDA ont été installés hier par le ministre de l’Élevage et des Productions animales.
M. Gayang Souaré a mis en relief les gros risques qu’encoure la population en consommant les produits ne répondant pas aux normes recommandées. Il a appelé à une prise de conscience.
Mi-septembre, 5 membres d’une même famille sont décédés à N’Djamena après avoir mangé un repas. Des soupçons ont pesé sur la qualité de la farine de maïs.
Les commerçants ont été appelés le 11 septembre dernier, par l’Union des consommateurs (UCT), à retirer leurs produits périmés de leurs stocks et des surfaces de ventes. Une semaine plus tôt, la police du 7ème arrondissement de N'Djamena avait procédé à la saisie de 400 sacs de farine de maïs périmé.
Le 28 avril 2017, un vaste réseau de fraudeurs, dont 3 employés de l’abattoir de Diguel Dinguessou, avait été démantelé par la police. Les fraudeurs faisaient croire à leurs clients que ces produits de consommation provenaient de la viande de mouton et de dromadaires, alors qu’il s’agissait de la viande de chien.
M. Gayang Souaré a mis en relief les gros risques qu’encoure la population en consommant les produits ne répondant pas aux normes recommandées. Il a appelé à une prise de conscience.
Mi-septembre, 5 membres d’une même famille sont décédés à N’Djamena après avoir mangé un repas. Des soupçons ont pesé sur la qualité de la farine de maïs.
Les commerçants ont été appelés le 11 septembre dernier, par l’Union des consommateurs (UCT), à retirer leurs produits périmés de leurs stocks et des surfaces de ventes. Une semaine plus tôt, la police du 7ème arrondissement de N'Djamena avait procédé à la saisie de 400 sacs de farine de maïs périmé.
Le 28 avril 2017, un vaste réseau de fraudeurs, dont 3 employés de l’abattoir de Diguel Dinguessou, avait été démantelé par la police. Les fraudeurs faisaient croire à leurs clients que ces produits de consommation provenaient de la viande de mouton et de dromadaires, alors qu’il s’agissait de la viande de chien.
