La situation économique difficile de sa famille est la principale motivation derrière ce travail nocturne. Elle raconte : "Je gagne 3 000 FCFA sur chaque partie, et de minuit à 6 heures du matin, je peux nettoyer deux fois, ce qui me rapporte 6 000 FCFA. En raison de la crise économique, il arrive parfois qu'on ne nous donne que 5 000 FCFA, voire 4 000 FCFA."
Travaillant tard dans la nuit, Thérèse est exposée à de nombreux risques. Elle a été victime d'agressions à plusieurs reprises et porte les cicatrices de coups de couteau. Elle se souvient : "J'ai déjà échappé à la mort en 2021 à cause d'un fil électrique souterrain, c'est un mauvais souvenir."
Son mari, Adoum Ousmane, s'inquiète constamment pour sa femme qui quitte la maison tard le soir pour ne rentrer que le matin. Il déclare : "Le travail que fait ma femme est très risqué, mais c'est le seul moyen pour nous de subvenir à nos besoins alimentaires quotidiens."
Travaillant tard dans la nuit, Thérèse est exposée à de nombreux risques. Elle a été victime d'agressions à plusieurs reprises et porte les cicatrices de coups de couteau. Elle se souvient : "J'ai déjà échappé à la mort en 2021 à cause d'un fil électrique souterrain, c'est un mauvais souvenir."
Son mari, Adoum Ousmane, s'inquiète constamment pour sa femme qui quitte la maison tard le soir pour ne rentrer que le matin. Il déclare : "Le travail que fait ma femme est très risqué, mais c'est le seul moyen pour nous de subvenir à nos besoins alimentaires quotidiens."
Thérèse Djimbaye n'a pas eu l'opportunité de poursuivre de longues études en raison de diverses circonstances, mais elle encourage les jeunes et les femmes à poursuivre leurs études autant que possible, tout en s'engageant dans des activités génératrices de revenus pour subvenir à leurs besoins.
Cette travailleuse a également transmis ses valeurs à ses enfants. Elle déclare : "Mon fils Hugo et ma petite fille Madjita Wazina travaillent avec moi pendant les grandes vacances ou les congés des fêtes."
Malgré les difficultés de son travail, Thérèse reste fière de son rôle de femme indépendante. Pourtant, il est essentiel que les autorités prennent des mesures pour améliorer les conditions de travail et la rémunération des travailleurs comme Thérèse. À 45 ans, elle ne devrait pas être condamnée à continuer à balayer les rues pour gagner sa vie. Un emploi précaire ne peut pas couvrir les besoins alimentaires d'une famille dans une ville comme N'Djaména, sans parler des problèmes de santé. Thérèse Djimbaye incarne toutefois l'indépendance féminine et la persévérance, car avec ses modestes revenus, sa famille ne souffre pas de la faim.
Cette travailleuse a également transmis ses valeurs à ses enfants. Elle déclare : "Mon fils Hugo et ma petite fille Madjita Wazina travaillent avec moi pendant les grandes vacances ou les congés des fêtes."
Malgré les difficultés de son travail, Thérèse reste fière de son rôle de femme indépendante. Pourtant, il est essentiel que les autorités prennent des mesures pour améliorer les conditions de travail et la rémunération des travailleurs comme Thérèse. À 45 ans, elle ne devrait pas être condamnée à continuer à balayer les rues pour gagner sa vie. Un emploi précaire ne peut pas couvrir les besoins alimentaires d'une famille dans une ville comme N'Djaména, sans parler des problèmes de santé. Thérèse Djimbaye incarne toutefois l'indépendance féminine et la persévérance, car avec ses modestes revenus, sa famille ne souffre pas de la faim.