Le PCMT reconnaît qu'il faut "plus qu'un accord pour éviter que Doha ne vienne s'ajouter" aux autres rendez-vous manqués (Khartoum, Kano, Tripoli).
"Le plus dur n'est pas de signer un accord mais d'entretenir pas nos actes, nos attitudes, notre gouvernance et notre hauteur d'esprit la flamme allumée à Doha", a estimé Mahamat Idriss Deby.
"Dès cet instant, dans cette salle, il n'y a plus les tchadiens de l'intérieur d'une part et les tchadiens de l'extérieur de l'autre. Il n'y a plus les politico-militaires d'un côté et la délégation gouvernementale de l'autre. (...) Il n'y a que des tchadiens fiers de leur pays et engagés pour le développement", a-t-il dit.
"Le succès de l'entente reposera sur la confiance mutuelle", a souligné Mahamat Idriss Deby.
18 groupes politico-militaires n'ont pas signé l'accord de Doha. Mahamat Idriss Deby les a invités à se joindre aux signataires, assurant que la main est toujours tendue.
"Le plus dur n'est pas de signer un accord mais d'entretenir pas nos actes, nos attitudes, notre gouvernance et notre hauteur d'esprit la flamme allumée à Doha", a estimé Mahamat Idriss Deby.
"Dès cet instant, dans cette salle, il n'y a plus les tchadiens de l'intérieur d'une part et les tchadiens de l'extérieur de l'autre. Il n'y a plus les politico-militaires d'un côté et la délégation gouvernementale de l'autre. (...) Il n'y a que des tchadiens fiers de leur pays et engagés pour le développement", a-t-il dit.
"Le succès de l'entente reposera sur la confiance mutuelle", a souligné Mahamat Idriss Deby.
18 groupes politico-militaires n'ont pas signé l'accord de Doha. Mahamat Idriss Deby les a invités à se joindre aux signataires, assurant que la main est toujours tendue.