Des chefs d'État et de gouvernement "des pays amis" sont toutefois attendus demain matin, confirme la Direction générale du protocole d'État.
À la cérémonie de clôture du dialogue national le 8 octobre, cinq organisations ont été représentées : le secrétaire exécutif de la CEN-SAD, la commission de la CEEAC, la CEMAC, l'envoyé de l'OCI et la CBLT. En revanche, l'UA n'a pas dépêché de représentant.
Les autorités tchadiennes ont toutefois adressé une invitation à l'UA pour l’investiture. Celle-ci a été déclinée, en "conformité aux principes de l'UA".
Le 29 septembre, l'UA a rendu public une déclaration du Conseil de paix et de sécurité appelant les membres du Conseil militaire de transition à respecter leur engagement de ne pas participer à des élections et de transmettre le pouvoir à des civils à l'issue des 18 mois de transition.
Les chancelleries occidentales ont réagi tour à tour en s'alignant derrière la position de l'UA. L'Union européenne, les ambassades d’Allemagne, d’Espagne, de France, des Pays-Bas, du Royaume-Uni et le département d'État américain ont exprimé leurs inquiétudes quant à certaines résolutions du dialogue national. Les autorités de transition n'ont pas formellement réagi.
À la cérémonie de clôture du dialogue national le 8 octobre, cinq organisations ont été représentées : le secrétaire exécutif de la CEN-SAD, la commission de la CEEAC, la CEMAC, l'envoyé de l'OCI et la CBLT. En revanche, l'UA n'a pas dépêché de représentant.
Les autorités tchadiennes ont toutefois adressé une invitation à l'UA pour l’investiture. Celle-ci a été déclinée, en "conformité aux principes de l'UA".
Le 29 septembre, l'UA a rendu public une déclaration du Conseil de paix et de sécurité appelant les membres du Conseil militaire de transition à respecter leur engagement de ne pas participer à des élections et de transmettre le pouvoir à des civils à l'issue des 18 mois de transition.
Les chancelleries occidentales ont réagi tour à tour en s'alignant derrière la position de l'UA. L'Union européenne, les ambassades d’Allemagne, d’Espagne, de France, des Pays-Bas, du Royaume-Uni et le département d'État américain ont exprimé leurs inquiétudes quant à certaines résolutions du dialogue national. Les autorités de transition n'ont pas formellement réagi.