La délégation provinciale de la Santé et de la Prévention sociale du Moyen-Chari, en partenariat avec le Centre Carter, a organisé ce 17 décembre 2025, au Palais des Arts et de la Culture Ngarta Tombalbaye de Sarh, une séance de formation et de sensibilisation consacrée à la lutte contre le ver de Guinée.
Cette activité a réuni les autorités administratives et traditionnelles, les services techniques de l’Etat, les forces de défense et de sécurité, les partenaires techniques, ainsi que les populations vivant aux alentours du parc dans le but de mieux prévenir la maladie et de renforcer la surveillance sur le terrain.
Les échanges ont porté principalement sur l’évolution de la maladie dans la province. Le délégué provincial de la Santé publique, Dr Mekounyo Kolmian Gédéon, a présenté une situation encourageante, marquée par une baisse notable des cas chez l’homme et chez les animaux entre 2024 et 2025.
Toutefois, la découverte récente de cas chez certains animaux sauvages, notamment un singe et un varan aux abords du Parc national de Manda, montre que la vigilance doit être maintenue.
Face à cette situation, les participants ont insisté sur l’importance de l’approche une seule santé, qui prend en compte à la fois la santé humaine, animale et environnementale. Cette approche permet une meilleure coordination des actions de prévention et de lutte contre la maladie.
Le coordonnateur provincial du programme d’éradication du ver de Guinée, Tétouyaba Blatome, représentant du Centre Carter, a salué les efforts conjoint de l’Etat, des partenaires et des communautés locales. Il a rappelé le rôle central des agents de l’environnement, qui sont en première ligne dans la surveillance, l’alerte rapide et la sensibilisation des populations.
Le délégué général du gouvernement auprès de la province a réaffirmé l’engagement des autorités provinciales à accompagner les équipes techniques. Il a donné son accord pour le déploiement des agents sur le terrain afin d’identifier, cartographier et traiter les points d’eau à risque dans et autour du Parc national de Manda.
A l’issue de cette session de formation, les participants ont formulé plusieurs recommandations. Ils se sont engagés à s’impliquer pleinement dans la lutte contre le ver de Guinée. Ils ont également demandé au Centre Carter de continuer à les appuyer et au gouvernement de soutenir davantage ce type d’initiative, tout en gardant une attention particulière sur cette maladie, surtout après la découverte récente des cas chez certains animaux sauvages au Parc national de Manda.
Cette activité a réuni les autorités administratives et traditionnelles, les services techniques de l’Etat, les forces de défense et de sécurité, les partenaires techniques, ainsi que les populations vivant aux alentours du parc dans le but de mieux prévenir la maladie et de renforcer la surveillance sur le terrain.
Les échanges ont porté principalement sur l’évolution de la maladie dans la province. Le délégué provincial de la Santé publique, Dr Mekounyo Kolmian Gédéon, a présenté une situation encourageante, marquée par une baisse notable des cas chez l’homme et chez les animaux entre 2024 et 2025.
Toutefois, la découverte récente de cas chez certains animaux sauvages, notamment un singe et un varan aux abords du Parc national de Manda, montre que la vigilance doit être maintenue.
Face à cette situation, les participants ont insisté sur l’importance de l’approche une seule santé, qui prend en compte à la fois la santé humaine, animale et environnementale. Cette approche permet une meilleure coordination des actions de prévention et de lutte contre la maladie.
Le coordonnateur provincial du programme d’éradication du ver de Guinée, Tétouyaba Blatome, représentant du Centre Carter, a salué les efforts conjoint de l’Etat, des partenaires et des communautés locales. Il a rappelé le rôle central des agents de l’environnement, qui sont en première ligne dans la surveillance, l’alerte rapide et la sensibilisation des populations.
Le délégué général du gouvernement auprès de la province a réaffirmé l’engagement des autorités provinciales à accompagner les équipes techniques. Il a donné son accord pour le déploiement des agents sur le terrain afin d’identifier, cartographier et traiter les points d’eau à risque dans et autour du Parc national de Manda.
A l’issue de cette session de formation, les participants ont formulé plusieurs recommandations. Ils se sont engagés à s’impliquer pleinement dans la lutte contre le ver de Guinée. Ils ont également demandé au Centre Carter de continuer à les appuyer et au gouvernement de soutenir davantage ce type d’initiative, tout en gardant une attention particulière sur cette maladie, surtout après la découverte récente des cas chez certains animaux sauvages au Parc national de Manda.
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Tchad : les couches socioprofessionnelles du Moyen-Chari renforcent la lutte contre le ver de Guinée








