
Les participants ont proposé des solutions immédiates, à moyen terme et à long terme face aux maux qui minent le secteur de l'enseignement.
Sur la question de l'élasticité des années académiques, le ministre estime qu'en réalité, "les étudiants n'ont pas beaucoup de problèmes", contrairement à ce que l'opinion publique pense. "Les étudiants ont besoin de leur bourse. Pour les boursiers, ils veulent une bourse régulière", dit-il.
"Il n'y a que deux facultés de médecine, à N'Djamena et à Abéché. Une troisième est en voie de création à l'Université Roi Fayçal. Et ce sont des boursiers. Ces étudiants, maintenant, ont trois ans d'arriérés de bourse. Les étudiants veulent une bourse régulière, des bus qui les transportent, une alimentation saine, régulière et moins cher. C'est tout. Si ceci est réglé, les étudiants ne vont pas aller en grève", explique Dr. Tom Erdimi.
Sur la question de l'élasticité des années académiques, le ministre estime qu'en réalité, "les étudiants n'ont pas beaucoup de problèmes", contrairement à ce que l'opinion publique pense. "Les étudiants ont besoin de leur bourse. Pour les boursiers, ils veulent une bourse régulière", dit-il.
"Il n'y a que deux facultés de médecine, à N'Djamena et à Abéché. Une troisième est en voie de création à l'Université Roi Fayçal. Et ce sont des boursiers. Ces étudiants, maintenant, ont trois ans d'arriérés de bourse. Les étudiants veulent une bourse régulière, des bus qui les transportent, une alimentation saine, régulière et moins cher. C'est tout. Si ceci est réglé, les étudiants ne vont pas aller en grève", explique Dr. Tom Erdimi.