Dans le cadre de la réforme en cours du système d’état civil au Tchad, l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANATS), en collaboration avec le Programme d’Appui à la Gouvernance (PAG2), organise du 3 au 5 juin 2025 à Sarh, un atelier de renforcement des capacités destiné aux principaux acteurs impliqués dans l’enregistrement et la gestion des faits d’état civil.
Cet atelier de recyclage s’inscrit dans une dynamique de modernisation profonde, axée sur l’appropriation des innovations technologiques en matière de digitalisation. Il a pour objectif principal de professionnaliser davantage les intervenants, afin d’améliorer la qualité des services offerts, accroître leur efficacité et faciliter l’accès des citoyens, notamment en milieu rural, aux services d’état civil.
Le représentant de l’ANATS, Breye Gouloua, a salué l’engagement du gouvernement tchadien et de ses partenaires techniques et financiers pour la transformation du système d’état civil. Il a insisté sur l’importance cruciale de la déclaration des naissances, encore trop souvent négligée par les parents. « Il est préoccupant de constater que nombre de parents ne prennent conscience de l’importance de l’acte de naissance que lorsque leur enfant est en fin de cycle fondamental.
Pourtant, les enfants âgés de 0 à 15 ans représentent une part significative de la population tchadienne. Il est donc impératif de renforcer les efforts sur le terrain », a-t-il déclaré. Prenant la parole à son tour, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kodé Ngolo, a rappelé que l’état civil ne se limite pas à un acte administratif : il constitue le fondement juridique de l'identité d’un individu, conditionnant l’accès à l’éducation, à la santé et à la citoyenneté.
Il a appelé à un sursaut collectif, exhortant les acteurs impliqués à intensifier les campagnes de sensibilisation, en particulier dans les zones rurales souvent oubliées. « L’état civil est un droit fondamental, inscrit aussi bien dans les lois nationales que dans les instruments juridiques internationaux. Il revient à chacun d’en garantir l’effectivité », a-t-il martelé.
Cet atelier représente une étape clé dans le processus de digitalisation des services publics au Tchad. Grâce à l’introduction de nouvelles technologies, les autorités espèrent améliorer la fiabilité, la sécurité et la rapidité du traitement des données d’état civil, tout en réduisant les cas d’oubli ou de falsification.
Cet atelier de recyclage s’inscrit dans une dynamique de modernisation profonde, axée sur l’appropriation des innovations technologiques en matière de digitalisation. Il a pour objectif principal de professionnaliser davantage les intervenants, afin d’améliorer la qualité des services offerts, accroître leur efficacité et faciliter l’accès des citoyens, notamment en milieu rural, aux services d’état civil.
Le représentant de l’ANATS, Breye Gouloua, a salué l’engagement du gouvernement tchadien et de ses partenaires techniques et financiers pour la transformation du système d’état civil. Il a insisté sur l’importance cruciale de la déclaration des naissances, encore trop souvent négligée par les parents. « Il est préoccupant de constater que nombre de parents ne prennent conscience de l’importance de l’acte de naissance que lorsque leur enfant est en fin de cycle fondamental.
Pourtant, les enfants âgés de 0 à 15 ans représentent une part significative de la population tchadienne. Il est donc impératif de renforcer les efforts sur le terrain », a-t-il déclaré. Prenant la parole à son tour, le secrétaire général de la province du Moyen-Chari, Fidèle Kodé Ngolo, a rappelé que l’état civil ne se limite pas à un acte administratif : il constitue le fondement juridique de l'identité d’un individu, conditionnant l’accès à l’éducation, à la santé et à la citoyenneté.
Il a appelé à un sursaut collectif, exhortant les acteurs impliqués à intensifier les campagnes de sensibilisation, en particulier dans les zones rurales souvent oubliées. « L’état civil est un droit fondamental, inscrit aussi bien dans les lois nationales que dans les instruments juridiques internationaux. Il revient à chacun d’en garantir l’effectivité », a-t-il martelé.
Cet atelier représente une étape clé dans le processus de digitalisation des services publics au Tchad. Grâce à l’introduction de nouvelles technologies, les autorités espèrent améliorer la fiabilité, la sécurité et la rapidité du traitement des données d’état civil, tout en réduisant les cas d’oubli ou de falsification.