Lors d'une séance extraordinaire tenue le 25 mai 2023, le Bureau Exécutif National a constaté avec regret que malgré sa volonté de collaborer avec le Ministère de l'Enseignement Supérieur pour rétablir le rythme académique et assurer la tranquillité dans les établissements d'enseignement supérieur, le Ministère maintient une position qui ne favorise pas une bonne collaboration.
"Les enseignants sont prêts à faire des sacrifices, mais ils ne doivent en aucun cas accepter les menaces du Ministre d'État, car ils ne sont pas responsables de l'allongement des années académiques. Le Ministre d'État doit comprendre que la véritable cause de cette situation réside dans l'accumulation des retards de paiement des enseignants, aggravée par le comportement inapproprié de certains responsables des institutions sous tutelle", affirme Dr. Ousman Ahmat, vice-président du Bureau Exécutif National du SYNECS.
Le SYNECS, en faisant appel au Président de Transition, Chef de l'État et garant du pacte social triennal, ainsi qu'au Comité National de Dialogue Social, exige le retrait des Notes Circulaires n° 04 et 08 qui contreviennent aux lois de la République, notamment la Constitution et le pacte social triennal, dans un délai maximum de huit jours. Passé ce délai, le SYNECS se verrait contraint de prendre des mesures d'envergure.
De plus, il est demandé à tous les membres militants du SYNECS de rester vigilants et mobilisés afin de revendiquer leurs droits légitimes.
"Les enseignants sont prêts à faire des sacrifices, mais ils ne doivent en aucun cas accepter les menaces du Ministre d'État, car ils ne sont pas responsables de l'allongement des années académiques. Le Ministre d'État doit comprendre que la véritable cause de cette situation réside dans l'accumulation des retards de paiement des enseignants, aggravée par le comportement inapproprié de certains responsables des institutions sous tutelle", affirme Dr. Ousman Ahmat, vice-président du Bureau Exécutif National du SYNECS.
Le SYNECS, en faisant appel au Président de Transition, Chef de l'État et garant du pacte social triennal, ainsi qu'au Comité National de Dialogue Social, exige le retrait des Notes Circulaires n° 04 et 08 qui contreviennent aux lois de la République, notamment la Constitution et le pacte social triennal, dans un délai maximum de huit jours. Passé ce délai, le SYNECS se verrait contraint de prendre des mesures d'envergure.
De plus, il est demandé à tous les membres militants du SYNECS de rester vigilants et mobilisés afin de revendiquer leurs droits légitimes.