Placée sous la présidence éclairée de S.E. Mme Fatimé Boukar Kossei, la réunion a été l'occasion pour la Ministre d'exposer les défis majeurs auxquels le Tchad est confronté en matière d'action sociale et humanitaire, notamment les conséquences néfastes des crises multiformes que traverse le pays. Elle a ensuite mis l'accent sur la nécessité d'une coordination accrue et d'une harmonisation des interventions des différents acteurs humanitaires afin d'optimiser l'utilisation des ressources et de maximiser l'impact des actions entreprises.
Prenant la parole à la suite de la Ministre, le Coordonnateur résident des systèmes des Nations Unies a réaffirmé l'engagement des agences onusiennes à accompagner le gouvernement tchadien dans ses efforts de développement socio-économique et de prise en charge des populations vulnérables. Il a souligné l'importance d'une collaboration étroite et d'un dialogue permanent entre les différentes parties prenantes pour une meilleure efficacité des interventions humanitaires.
Les représentants des ONG ont également pris part aux échanges, soulignant leur disponibilité à œuvrer en synergie avec le Ministère de l'Action Sociale et les agences des Nations Unies pour répondre aux besoins urgents des populations affectées par les crises. Ils ont toutefois plaidé pour un renforcement des capacités nationales et une meilleure implication des acteurs locaux dans la conception et la mise en œuvre des programmes humanitaires.
Les participants ont convenu de la nécessité de renforcer les mécanismes de coordination et de collaboration entre le Ministère de l'Action Sociale, les agences des Nations Unies et les ONG afin d'éviter les doublons, d'optimiser l'utilisation des ressources et de maximiser l'impact des actions entreprises.
La Ministre a rappelé aux ONG l'obligation de respecter les procédures en vigueur et de fournir des informations fiables au Ministère. Elle a dénoncé certaines pratiques telles que la réalisation d'activités sans notification préalable ou le manque de transparence dans la gestion des fonds.
La Ministre a insisté sur la nécessité d'harmoniser les actions des acteurs humanitaires avec les politiques nationales en matière d'action sociale et humanitaire. Elle a appelé à une meilleure prise en compte des besoins et des priorités définis par le gouvernement.
La Ministre a plaidé pour un renforcement des capacités des acteurs nationaux afin de réduire la dépendance vis-à-vis de l'aide extérieure. Elle a encouragé les partenariats entre les acteurs nationaux et internationaux pour un transfert de compétences et d'expertise.
Prenant la parole à la suite de la Ministre, le Coordonnateur résident des systèmes des Nations Unies a réaffirmé l'engagement des agences onusiennes à accompagner le gouvernement tchadien dans ses efforts de développement socio-économique et de prise en charge des populations vulnérables. Il a souligné l'importance d'une collaboration étroite et d'un dialogue permanent entre les différentes parties prenantes pour une meilleure efficacité des interventions humanitaires.
Les représentants des ONG ont également pris part aux échanges, soulignant leur disponibilité à œuvrer en synergie avec le Ministère de l'Action Sociale et les agences des Nations Unies pour répondre aux besoins urgents des populations affectées par les crises. Ils ont toutefois plaidé pour un renforcement des capacités nationales et une meilleure implication des acteurs locaux dans la conception et la mise en œuvre des programmes humanitaires.
Les participants ont convenu de la nécessité de renforcer les mécanismes de coordination et de collaboration entre le Ministère de l'Action Sociale, les agences des Nations Unies et les ONG afin d'éviter les doublons, d'optimiser l'utilisation des ressources et de maximiser l'impact des actions entreprises.
La Ministre a rappelé aux ONG l'obligation de respecter les procédures en vigueur et de fournir des informations fiables au Ministère. Elle a dénoncé certaines pratiques telles que la réalisation d'activités sans notification préalable ou le manque de transparence dans la gestion des fonds.
La Ministre a insisté sur la nécessité d'harmoniser les actions des acteurs humanitaires avec les politiques nationales en matière d'action sociale et humanitaire. Elle a appelé à une meilleure prise en compte des besoins et des priorités définis par le gouvernement.
La Ministre a plaidé pour un renforcement des capacités des acteurs nationaux afin de réduire la dépendance vis-à-vis de l'aide extérieure. Elle a encouragé les partenariats entre les acteurs nationaux et internationaux pour un transfert de compétences et d'expertise.