
Des chefs traditionnels, des intellectuels et des dirigeants d'organisations de la société civile ont signé, ce 14 avril une pétition appelant à l'ouverture de la Faculté de médecine humaine de l'Université Roi Fayçal.
La pétition, qui s'adresse directement au chef du Conseil militaire, est basée sur l'article 9 de la Constitution de 1996 et l'article 30 de la Charte de transition, qui stipulent que l'arabe et le français sont les langues officielles de la Etat. En plus de l'article 13 qui stipule que les Tchadiens sont égaux devant la loi.
Cela tient compte du manque d'application pratique de ces matériels sur le terrain, et de l'urgente nécessité d'appliquer le bilinguisme dans l'éducation pour parvenir à la paix, à l'harmonie nationale, à la paix sociale et à la stabilité.
Les chefs traditionnels, les dirigeants d'associations de la société civile et les intellectuels qui ont signé la pétition demandant l'ouverture de la faculté de médecine de l'université Roi Fayçal évoquent la disponibilité de toutes les conditions nécessaires à sa création, qui ont été fournies par les frères de la République arabe d'Égypte, par l'intermédiaire de l'Université Al-Azhar, grâce à la mise à disposition de professeurs, de médecins, d'appareils et d'équipements, selon la pétition. L
es signataires de la pétition estiment que l'ouverture du collège contribuera à fournir du personnel médical pour travailler dans les hôpitaux tchadiens, afin d'éliminer les maladies courantes, de réduire le nombre de décès de citoyens, de femmes et d'enfants et de réduire les déplacements des Tchadiens à l'étranger.
La signature de la pétition se poursuivra pendant plusieurs jours, pour inclure Ndjamena et le reste des régions avant d'être envoyée aux autorités concernées.
La pétition, qui s'adresse directement au chef du Conseil militaire, est basée sur l'article 9 de la Constitution de 1996 et l'article 30 de la Charte de transition, qui stipulent que l'arabe et le français sont les langues officielles de la Etat. En plus de l'article 13 qui stipule que les Tchadiens sont égaux devant la loi.
Cela tient compte du manque d'application pratique de ces matériels sur le terrain, et de l'urgente nécessité d'appliquer le bilinguisme dans l'éducation pour parvenir à la paix, à l'harmonie nationale, à la paix sociale et à la stabilité.
Les chefs traditionnels, les dirigeants d'associations de la société civile et les intellectuels qui ont signé la pétition demandant l'ouverture de la faculté de médecine de l'université Roi Fayçal évoquent la disponibilité de toutes les conditions nécessaires à sa création, qui ont été fournies par les frères de la République arabe d'Égypte, par l'intermédiaire de l'Université Al-Azhar, grâce à la mise à disposition de professeurs, de médecins, d'appareils et d'équipements, selon la pétition. L
es signataires de la pétition estiment que l'ouverture du collège contribuera à fournir du personnel médical pour travailler dans les hôpitaux tchadiens, afin d'éliminer les maladies courantes, de réduire le nombre de décès de citoyens, de femmes et d'enfants et de réduire les déplacements des Tchadiens à l'étranger.
La signature de la pétition se poursuivra pendant plusieurs jours, pour inclure Ndjamena et le reste des régions avant d'être envoyée aux autorités concernées.