En séjour de travail à Brazzaville, le directeur Afrique du groupe Total E&P a eu des entretiens avec le président, Denis Sassou N’Guesso pour lui rendre compte des activités de sa société et faire le point sur les différents projets en cours, notamment le projet Moho-Nord.
A sa sortie de l’audience, Nicolas Terrez a expliqué à la presse que « le Congo est un pays important pour Total, il est important que je vienne régulièrement rendre compte de nos activités ». Il a édifié la presse sur la découverte d’un nouveau champ pétrolier au Congo, « Mokili Mbembé » qui devrait être mis en exploitation en avril courant. « Nous avons, pour notre part, une acquisition gravimétrique qui est prévue cette année à Mokili Mbémbé et qu’on devrait réaliser au mois d’avril » a-t-il expliqué.
S’agissant de l’abrogation de la convention d’établissement entre le gouvernement congolais et le groupe Total, Nicolas Terrez, a précisé que le plus important pour sa société « c’est arriver à maintenir un cadre attractif et compétitif pour continuer à investir comme on l’a fait de manière importante au cours des dernières années ».
Abordant l’aspect lié à la politique de Total en matière d’utilisation du gaz, le directeur Afrique du groupe Total est demeuré optimiste, tout en notant qu’il y aurait une croissance importante de l’attractivité gazière. Pour lui, « aujourd’hui, le gaz représente plus de la moitié de la production de Total globalement et en Afrique... » Après avoir noté les expériences réalisées au Mozambique pour le gaz liquéfié, Nicolas Terrez a conclu que le gaz est une énergie d’avenir qui est moins émettrice de CO2.
A sa sortie de l’audience, Nicolas Terrez a expliqué à la presse que « le Congo est un pays important pour Total, il est important que je vienne régulièrement rendre compte de nos activités ». Il a édifié la presse sur la découverte d’un nouveau champ pétrolier au Congo, « Mokili Mbembé » qui devrait être mis en exploitation en avril courant. « Nous avons, pour notre part, une acquisition gravimétrique qui est prévue cette année à Mokili Mbémbé et qu’on devrait réaliser au mois d’avril » a-t-il expliqué.
S’agissant de l’abrogation de la convention d’établissement entre le gouvernement congolais et le groupe Total, Nicolas Terrez, a précisé que le plus important pour sa société « c’est arriver à maintenir un cadre attractif et compétitif pour continuer à investir comme on l’a fait de manière importante au cours des dernières années ».
Abordant l’aspect lié à la politique de Total en matière d’utilisation du gaz, le directeur Afrique du groupe Total est demeuré optimiste, tout en notant qu’il y aurait une croissance importante de l’attractivité gazière. Pour lui, « aujourd’hui, le gaz représente plus de la moitié de la production de Total globalement et en Afrique... » Après avoir noté les expériences réalisées au Mozambique pour le gaz liquéfié, Nicolas Terrez a conclu que le gaz est une énergie d’avenir qui est moins émettrice de CO2.