C’est à la place de Fontenoy du 7ème arrondissement de la capitale française, siège de l’Unesco, lieu par excellence du bouillonnement du multilatéralisme, que le comité intergouvernemental du patrimoine mondial de l’Unesco tient du 06 au 16 juillet 2025, les importantes assises de ses travaux consacrés à sa 47ème session.
La Bulgarie assure la présidence de ce comité qui compte 21 membres. Le Cameroun, état partie observateur prend part aux travaux. S.E. André-Magnus Ekoumou, ambassadeur, délégué permanent du Cameroun auprès de l’Unesco, conduit la délégation camerounaise. Pour la circonstance, le chef de la mission diplomatique du Cameroun en France est accompagné de diplomates en poste à Paris et par le Pr Yaouba Abdel-Aziz, secrétaire général de la commission nationale pour l’Unesco.
Mme Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, s'est voulue offensive dans son discours, délivré dans un contexte mondial marqué par une forte interpellation des peuples sur la problématique relative à la préservation de la mémoire et de l'imaginaire.
Elle a ainsi magnifié tout le profit que la culture et le patrimoine peuvent apporter, aux membres des communautés, de la base au sommet, et conséquemment à toute l'humanité.
Mais d'après Mme Audrey Azoulay, les politiques publiques et les initiatives privées susceptibles de contribuer à la préservation stratégique et harmonieuse du patrimoine mondial, sont confrontées surtout à de multiples défis qui procèdent du changement climatique, aux crises sociales, économiques et politiques multiformes, nationales, régionales et globales, et aussi à la surexploitation des ressources naturelles tous azimuts.
Il revient donc à l’Unesco, de « réenchanter le monde », en lui dotant de courage, d'outils, de stratégies et d'intelligence pour assurer une préservation durable du patrimoine mondial.
La délégation camerounaise à Paris, est fort confiante et enthousiaste. Et pour cause, le site naturel de Diy-Gid-Byi, logé dans l'environnement montagneux, épique et pittoresque de l'Extrême-nord du Cameroun, sera officiellement inscrit sur la liste du patrimoine mondial, le 11 juillet prochain.
La Bulgarie assure la présidence de ce comité qui compte 21 membres. Le Cameroun, état partie observateur prend part aux travaux. S.E. André-Magnus Ekoumou, ambassadeur, délégué permanent du Cameroun auprès de l’Unesco, conduit la délégation camerounaise. Pour la circonstance, le chef de la mission diplomatique du Cameroun en France est accompagné de diplomates en poste à Paris et par le Pr Yaouba Abdel-Aziz, secrétaire général de la commission nationale pour l’Unesco.
Mme Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, s'est voulue offensive dans son discours, délivré dans un contexte mondial marqué par une forte interpellation des peuples sur la problématique relative à la préservation de la mémoire et de l'imaginaire.
Elle a ainsi magnifié tout le profit que la culture et le patrimoine peuvent apporter, aux membres des communautés, de la base au sommet, et conséquemment à toute l'humanité.
Mais d'après Mme Audrey Azoulay, les politiques publiques et les initiatives privées susceptibles de contribuer à la préservation stratégique et harmonieuse du patrimoine mondial, sont confrontées surtout à de multiples défis qui procèdent du changement climatique, aux crises sociales, économiques et politiques multiformes, nationales, régionales et globales, et aussi à la surexploitation des ressources naturelles tous azimuts.
Il revient donc à l’Unesco, de « réenchanter le monde », en lui dotant de courage, d'outils, de stratégies et d'intelligence pour assurer une préservation durable du patrimoine mondial.
La délégation camerounaise à Paris, est fort confiante et enthousiaste. Et pour cause, le site naturel de Diy-Gid-Byi, logé dans l'environnement montagneux, épique et pittoresque de l'Extrême-nord du Cameroun, sera officiellement inscrit sur la liste du patrimoine mondial, le 11 juillet prochain.