« Je suis surpris que la CAF ait autorisé ce terrain pour un match international. Pour les joueurs, c’est comme jouer sur du béton », a-t-il déclaré, soulignant la difficulté pour ses hommes de s’adapter à une surface inhabituelle.
Ces propos, largement relayés par la presse sportive ghanéenne, suscitent des réactions mitigées. Pour une partie du public, ils ressemblent à une excuse anticipée en cas de contre-performance face aux Sao. D’autres rappellent que la pelouse de Mandjafa semble en réalité plus praticable que celle de l’Accra Sports Stadium, où évoluent régulièrement les Black Stars.
Otto Addo insiste néanmoins : « Nous savons que ce sera difficile. Jouer à l’extérieur en Afrique est toujours difficile. Mais cette fois-ci, c’est encore différent parce que les joueurs ne sont pas habitués à jouer sur du gazon artificiel. »
Il convient de rappeler que de nombreux pays africains disposent de terrains synthétiques homologués aussi bien par la CAF que par la FIFA. Le recours à ce type d’infrastructures n’est donc ni inédit ni exceptionnel sur le continent.
Leader du Groupe I avec 15 points (cinq victoires en six matchs), le Ghana aborde cette rencontre en position de force. Le Tchad, en revanche, n’a toujours pas enregistré le moindre succès dans ces éliminatoires. Mais l’enjeu reste important pour les deux nations : pour les Black Stars, conforter leur avance et se rapprocher des États-Unis, du Canada et du Mexique en 2026 ; pour les Sao, décrocher un résultat historique devant leur public, de retour après plus de cinq ans sans match à domicile.
Ces propos, largement relayés par la presse sportive ghanéenne, suscitent des réactions mitigées. Pour une partie du public, ils ressemblent à une excuse anticipée en cas de contre-performance face aux Sao. D’autres rappellent que la pelouse de Mandjafa semble en réalité plus praticable que celle de l’Accra Sports Stadium, où évoluent régulièrement les Black Stars.
"Oui, je suis vraiment surpris qu'ils aient autorisé ce terrain pour un match international. Le terrain est vraiment, vraiment mauvais. C'est très, très difficile pour les joueurs, c'est comme jouer sur du béton. Mais bon, que pouvons-nous y faire ? Nous devons faire avec et nous sommes prêts. Nous avons tout observé aujourd'hui. Comme je l'ai dit, ce n'est pas un bon gazon artificiel, pour être honnête. De nos jours, il existe des gazons artificiels bien meilleurs, qui sont également beaucoup plus sains pour les joueurs."
Otto Addo insiste néanmoins : « Nous savons que ce sera difficile. Jouer à l’extérieur en Afrique est toujours difficile. Mais cette fois-ci, c’est encore différent parce que les joueurs ne sont pas habitués à jouer sur du gazon artificiel. »
Il convient de rappeler que de nombreux pays africains disposent de terrains synthétiques homologués aussi bien par la CAF que par la FIFA. Le recours à ce type d’infrastructures n’est donc ni inédit ni exceptionnel sur le continent.
Leader du Groupe I avec 15 points (cinq victoires en six matchs), le Ghana aborde cette rencontre en position de force. Le Tchad, en revanche, n’a toujours pas enregistré le moindre succès dans ces éliminatoires. Mais l’enjeu reste important pour les deux nations : pour les Black Stars, conforter leur avance et se rapprocher des États-Unis, du Canada et du Mexique en 2026 ; pour les Sao, décrocher un résultat historique devant leur public, de retour après plus de cinq ans sans match à domicile.