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REACTION

Agir, en Centrafrique tous ensemble


Alwihda Info | Par Léon GRANT - 16 Décembre 2013



Arrivée de la Croix-Rouge pour l'inhumation d’un corps en Centrafrique. RFI
Arrivée de la Croix-Rouge pour l'inhumation d’un corps en Centrafrique. RFI
(Appel aux patriotes de la diapora et aux Amis de la centrafrique)

Par Léon Kidjimalé Grant.

Certes agir,
C'est Se mobiliser,
C'est Manifester partout pour sensibiliser,
C'est écrire ou publier des Tribunes de réflexions « pour irriguer les intelligences »
C'est envoyer des médicaments, et aussi des jouets ou une somme d'argent pour aider nos frères et sœurs ou parents en R.C.A.
C'est faire ce que deux compatriotes que je respecte, ont fait,
ils se reconnaîtront à savoir :
Solliciter des soutiens ;

«Mes chers compatriotes, amis de la Centrafrique,

Vous trouverez ci-joint le support de notre forum sur la crise humanitaire du 23 Novembre 2013 au viaduc Café et les premiers axes proposés par le fonds de dotation pour apporter une réponse à court et à moyen terme.... »

Ou bien Interpeller : « Bonsoir, Je comprend tout cela mais que faut-il faire maintenant dans l’immédiat ? Et comment ? Si on avait su oui mais maintenant que fait -on ? Voilà ! J'ai encore en tête les voix de ces enfants rendus orphelins ces jours-ci, articulant en pleurant : « Ils sont venus et ils ont demandé où est ton père ? Papa est sorti et ils ont tiré et il est mort... »

Il me vient donc à l'idée de m'adresser à chacun de NOUS, pour proposer que nous puissions contribuer à la hauteur des 1/100 de nos revenus annuels pour construire UN ORPHELINAT conséquent pour ces enfants, dont le nombre est estimé à 5600, information de France inter !

Ce serait une contribution à long terme. Les ressortissants d'autres pays africains le font ou sollicitent leurs diasporas pour construire des Ecoles et des Universités.

Nous avons suffisamment d'Associations en France et de gens dévoués et organinés pour définir les modalités de la logistique.

Les actions pénales et juridiques pour condamner les responsables suivis des réparations viendront en leur temps.
 
A qui revient le devoir d'interpeller?
 
Ce devoir incombe à  tous les citoyens et citoyennes instruits ou avertis des conséquences que peuvent engendrer la mauvaise gouvernance,
justement. Et nous apprenons cette leçon de la plus dure des façons : non paiement des salaires, tribalisme et clanisme, violences physiques
et morales patiemment contenues au-delà du supportables; une Armée politisée , tribalisée et négligées...Bref les signaux étaient au rouge vif
depuis fort longtemps. Il ne restait plus qu'à faire le lit de la Séléka, par l'avant dernier locataire du Palais de la Renaissance  pour que le malheur accourt ! La politique est donc affaire de tous.

Singuila na siriri na yé koué à ita.

Léon GRANT ([email protected]



Pour toute information, contactez-nous au : +(235) 99267667 ; 62883277 ; 66267667 (Bureau N'Djamena)