Lors d’un point de presse virtuel organisé par le Africa Regional Media Hub, le général de corps d’armée John W. Brennan et l’ambassadeur Robert Scott ont détaillé la stratégie sécuritaire des États-Unis en Afrique australe, axée sur des solutions dirigées par les Africains eux-mêmes.
Les récentes visites officielles en Angola et en Namibie ont marqué une étape importante dans le renforcement de la coopération militaire, maritime et économique. En Angola, les officiels américains ont mis en avant le Lobito Corridor, un projet logistique d’envergure soutenu par les États-Unis pour améliorer les échanges commerciaux régionaux et attirer les investissements grâce à une sécurité accrue.
En Namibie, le développement du port de Walvis Bay et la coopération maritime, notamment via l’exercice multinational Obangame Express, illustrent l’engagement américain à soutenir les capacités locales sans militarisation excessive. AFRICOM mise sur des formations à faible empreinte (comme les JCETs) qui favorisent les liens durables et une autonomie croissante des partenaires africains.
Ces programmes s’inscrivent dans un objectif plus large : prévenir les menaces, renforcer les institutions locales, et limiter les interventions étrangères directes.
Les récentes visites officielles en Angola et en Namibie ont marqué une étape importante dans le renforcement de la coopération militaire, maritime et économique. En Angola, les officiels américains ont mis en avant le Lobito Corridor, un projet logistique d’envergure soutenu par les États-Unis pour améliorer les échanges commerciaux régionaux et attirer les investissements grâce à une sécurité accrue.
En Namibie, le développement du port de Walvis Bay et la coopération maritime, notamment via l’exercice multinational Obangame Express, illustrent l’engagement américain à soutenir les capacités locales sans militarisation excessive. AFRICOM mise sur des formations à faible empreinte (comme les JCETs) qui favorisent les liens durables et une autonomie croissante des partenaires africains.
Ces programmes s’inscrivent dans un objectif plus large : prévenir les menaces, renforcer les institutions locales, et limiter les interventions étrangères directes.