D'intensifs efforts sont déployés par les services de sécurité égyptiens afin de localiser le lieu de captivité d'un otage croate enlevé par l'Etat Islamique en Egypte, à partir de l'analyse minutieuse de la vidéo par des experts qui sont à la recherche de moindres indices.
L'otage, Tomislav Salopek est apparu dans une vidéo diffusée mercredi par le groupe terroriste qui menacait de l'exécuter dans 48 heures si le gouvernement égyptien ne libérait pas des femmes musulmanes emprisonnées, un délai qui est déjà arrivé à son terme depuis la diffusion de l'enregistrement vidéo. Tomislav était agenouillé aux pieds d'un homme cagoulé tenant un couteau, ce qui laisse penser qu'il serait décapité au couteau.
Les services de sécurité égyptiens voudraient lancer une opération commando afin de tenter de libérer l'otage, selon plusieurs sources, tandis que l'inquiétude autour de son sort monte et les tractations diplomatiques se poursuivent.
L'homme, employé d'une entreprise parapétrolière française, avait été enlevé au mois de juillet dernier dans une banlieue de la capitale égyptienne. L'enlèvement d'un étranger est une première par la branche égyptienne de l'Etat Islamique qui mène un bras de fer avec le régime d'Al-Sisi, depuis le renversement militaire de Mohammed Morsi, premier président démocratiquement élu depuis la chute d'Hosni Moubarak, à la suite de la révolution égyptienne.
L'otage, Tomislav Salopek est apparu dans une vidéo diffusée mercredi par le groupe terroriste qui menacait de l'exécuter dans 48 heures si le gouvernement égyptien ne libérait pas des femmes musulmanes emprisonnées, un délai qui est déjà arrivé à son terme depuis la diffusion de l'enregistrement vidéo. Tomislav était agenouillé aux pieds d'un homme cagoulé tenant un couteau, ce qui laisse penser qu'il serait décapité au couteau.
Les services de sécurité égyptiens voudraient lancer une opération commando afin de tenter de libérer l'otage, selon plusieurs sources, tandis que l'inquiétude autour de son sort monte et les tractations diplomatiques se poursuivent.
L'homme, employé d'une entreprise parapétrolière française, avait été enlevé au mois de juillet dernier dans une banlieue de la capitale égyptienne. L'enlèvement d'un étranger est une première par la branche égyptienne de l'Etat Islamique qui mène un bras de fer avec le régime d'Al-Sisi, depuis le renversement militaire de Mohammed Morsi, premier président démocratiquement élu depuis la chute d'Hosni Moubarak, à la suite de la révolution égyptienne.