
L'Union Européenne (UE) intensifie sa réponse à une épidémie mortelle de choléra dans l'est du Tchad avec un financement d'urgence de 1,35 million d'euros. Ce soutien contribuera à freiner la propagation de la maladie et à sauver des vies, alors que la région fait face à un afflux sans précédent de près de 1,2 million de personnes fuyant le conflit au Soudan voisin depuis avril 2023.
Cela porte l'aide humanitaire de l'UE pour le Tchad à 77,85 millions d'euros jusqu'à présent cette année. Suite à la détection d'une épidémie de choléra en juillet 2025 dans le camp de réfugiés de Dougui, dans la province du Ouaddaï au Tchad, la maladie s'est rapidement propagée au-delà des 20 000 résidents du camp vers d'autres sites de réfugiés et villages environnants.
Le financement de l'UE renforcera le travail des partenaires déjà présents sur le terrain, y compris l'International Medical Corps (IMC), l'UNICEF, l'OMS et l'IRC. Il permettra des mesures vitales telles que la mise en place de Centres de traitement du choléra (CTC) et d'Unités de traitement du choléra (CTU), la fourniture de médicaments essentiels et de fournitures médicales, ainsi que l'amélioration des installations d'eau, d'assainissement et d'hygiène afin d'assurer des conditions de vie plus sûres et de freiner la transmission.
« Le choléra tue rapidement, mais avec la bonne réponse, il peut être arrêté tout aussi vite », a déclaré Laurent De Ruyt, chef intérimaire du bureau de l'aide humanitaire de l'UE, depuis Adré, Tchad. « Nous travaillons aux côtés de nos partenaires pour sauver des vies et essayer d'empêcher cette maladie de se propager davantage dans des communautés déjà durement touchées par la violence, le déplacement et la précarité. »
Des évaluations récentes ont révélé des défis critiques à Dougui, notamment l'accès insuffisant à l'eau potable et des latrines débordantes affectant des milliers de résidents du camp. Avec la saison des pluies en cours, une dégradation de l'assainissement augmente le risque de transmission accrue du choléra.
Cette épidémie s'inscrit dans un contexte de crise humanitaire plus vaste, où le système de santé tchadien est gravement sous pression en raison de l'arrivée massive de réfugiés et d'une aide internationale limitée. Cela souligne la nécessité cruciale d'une assistance humanitaire rapide pour sauver des vies et démontre l'importance de la solidarité internationale.
Cela porte l'aide humanitaire de l'UE pour le Tchad à 77,85 millions d'euros jusqu'à présent cette année. Suite à la détection d'une épidémie de choléra en juillet 2025 dans le camp de réfugiés de Dougui, dans la province du Ouaddaï au Tchad, la maladie s'est rapidement propagée au-delà des 20 000 résidents du camp vers d'autres sites de réfugiés et villages environnants.
Le financement de l'UE renforcera le travail des partenaires déjà présents sur le terrain, y compris l'International Medical Corps (IMC), l'UNICEF, l'OMS et l'IRC. Il permettra des mesures vitales telles que la mise en place de Centres de traitement du choléra (CTC) et d'Unités de traitement du choléra (CTU), la fourniture de médicaments essentiels et de fournitures médicales, ainsi que l'amélioration des installations d'eau, d'assainissement et d'hygiène afin d'assurer des conditions de vie plus sûres et de freiner la transmission.
« Le choléra tue rapidement, mais avec la bonne réponse, il peut être arrêté tout aussi vite », a déclaré Laurent De Ruyt, chef intérimaire du bureau de l'aide humanitaire de l'UE, depuis Adré, Tchad. « Nous travaillons aux côtés de nos partenaires pour sauver des vies et essayer d'empêcher cette maladie de se propager davantage dans des communautés déjà durement touchées par la violence, le déplacement et la précarité. »
Des évaluations récentes ont révélé des défis critiques à Dougui, notamment l'accès insuffisant à l'eau potable et des latrines débordantes affectant des milliers de résidents du camp. Avec la saison des pluies en cours, une dégradation de l'assainissement augmente le risque de transmission accrue du choléra.
Cette épidémie s'inscrit dans un contexte de crise humanitaire plus vaste, où le système de santé tchadien est gravement sous pression en raison de l'arrivée massive de réfugiés et d'une aide internationale limitée. Cela souligne la nécessité cruciale d'une assistance humanitaire rapide pour sauver des vies et démontre l'importance de la solidarité internationale.