Le thème du congrès était « Les incidences sur les revenus fiscaux de l'accord portant création de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) ».
Les implications en matière de fiscalité et de recettes de l'Accord de libre-échange continental africain (ALECAf) ont fait l'objet d'un débat animé lors du Congrès. La réunion a affirmé que l'AfCFTA augmenterait le revenu global et le bien-être de la plupart des pays africains.
Sur la base des statistiques de la Banque mondiale, il a été souligné que d'ici 2035, l'AfCFTA pourrait augmenter les gains de revenus réels de 7 % et stimuler les exportations africaines de 560 milliards de dollars.
La réunion a observé que, sur la base des données de 35 membres des Perspectives fiscales africaines, les droits d'importation ont contribué à 6,41 % des recettes fiscales totales en 2020. Sur les cinq principaux types d'impôts, les droits d'importation occupent la dernière place, tandis que les trois premiers sont la TVA, l'impôt sur le revenu des personnes physiques et l'impôt sur les sociétés.
Les importations en provenance d'Afrique sont très faibles par rapport à celles du reste du monde, avec une moyenne de 13 % entre 1995 et 2020. Par conséquent, même si l'on s'attend à des pertes de recettes tarifaires à court terme, celles-ci seront marginales.
Il a également été délibéré que les avantages à long terme de l'AfCFTA, notamment la réduction des coûts commerciaux, la promotion des chaînes de valeur régionales et l'offre d'une plus grande variété aux consommateurs, pourraient compenser les pertes à court terme. On s'attend également à ce que la croissance du PIB et de la consommation ait un impact positif sur la performance des taxes nationales.
Les implications en matière de fiscalité et de recettes de l'Accord de libre-échange continental africain (ALECAf) ont fait l'objet d'un débat animé lors du Congrès. La réunion a affirmé que l'AfCFTA augmenterait le revenu global et le bien-être de la plupart des pays africains.
Sur la base des statistiques de la Banque mondiale, il a été souligné que d'ici 2035, l'AfCFTA pourrait augmenter les gains de revenus réels de 7 % et stimuler les exportations africaines de 560 milliards de dollars.
La réunion a observé que, sur la base des données de 35 membres des Perspectives fiscales africaines, les droits d'importation ont contribué à 6,41 % des recettes fiscales totales en 2020. Sur les cinq principaux types d'impôts, les droits d'importation occupent la dernière place, tandis que les trois premiers sont la TVA, l'impôt sur le revenu des personnes physiques et l'impôt sur les sociétés.
Les importations en provenance d'Afrique sont très faibles par rapport à celles du reste du monde, avec une moyenne de 13 % entre 1995 et 2020. Par conséquent, même si l'on s'attend à des pertes de recettes tarifaires à court terme, celles-ci seront marginales.
Il a également été délibéré que les avantages à long terme de l'AfCFTA, notamment la réduction des coûts commerciaux, la promotion des chaînes de valeur régionales et l'offre d'une plus grande variété aux consommateurs, pourraient compenser les pertes à court terme. On s'attend également à ce que la croissance du PIB et de la consommation ait un impact positif sur la performance des taxes nationales.